Le regard du cœur transforme en or le métal du vulgaire.
Le Cœur, par ce regard différent est à la fois le delta et le chemin lui-même. Comme Bouddha disait, nous sommes la vérité et son sentier ; C'est cela la magie. La lumière est permanente et elle ne nous appartient pas. Elle nous précède et nous survit
Elle pénètre en toutes choses puisque rien est en deçà ni au-dessus d’elle.
Par elle, nous transformons les sens en cœur et le coeur en sens pour connaître bientôt l’essence et l’intime.
L'artiste rentre dans le monde pour la transcender. Créer c'est tailler dans la masse du superflu pour en extraire l'essence.
L'AMOUR est le « Verbe » essenCIEL.
Il est Matière du monde original et subtil ; nos corps un jour, au terme de nombreuses réincarnations, comme les âmes arrivées au bout du sentier, ne seront plus indispensables, car nous baignerons ensemble dans la matière initiale et notre mission sera alors de la partager et d’accompagner l’intuition des âmes de degrés inférieures incarnées dans leur monde sensible et manifesté. Ainsi va la loi du sens et de la Vie.
Les Amours vrais sont éternelles lorsqu’elles sont authentiques. Elles sont les prémisses de l'extase vécue dans le degré de conscience qui est le sien et qui appelle encore à des degrés de vibration plus intenses encore.
Ce niveau de pleine conscience atteint, n’est jamais altéré, car la lumière révélée chasse les ténèbres durablement.
Incarnées, nous âmes sensibles subissons parfois des agressions violentes dans le monde manifesté ; Il nous arrive de douter. Alors on ne sait plus qui on est vraiment. Alors on fait semblant en s'adaptant au monde comme on peut.
Beaucoup en sont jaloux et s'en méfient sans consciemment savoir pourquoi.
Il nous arrive très souvent de ressentir les agressions non verbales de certains, profanes mais aussi initiés.
C'est notre sensibilité qui nous permet de capter ces agressions ; c'est difficile à gérer ; très difficile.
Mais l'évidence de nos degrés intimes nous réveille toujours et nous remet toujours sur notre route initiale.
Nous ne pouvons nous écarter de l'Amour puisque c'est notre fin et notre cause.
La nature est le souffle de l'évidence. Elle ne se trompe jamais.
Nous âmes incarnées parvenues à un degré de conscience subtile, nous sommes animés par nos intuitions et nos évidences, sur la trace du souffle perdu.
En prenant conscience du Soi, à Nu, totalement livré dans sa fragilité, le cœur est à l'état initial.
Ce qui nous permet aussi de re-connaitre nos semblables.
Nous filtrons cette lumière auxquels nos yeux se sont habitués. Le reste n'a aucune importance. Dans la caverne, nous sommes la lumière que nous mettons en évidence pour qui la souhaite. Nous sommes tous les artistes de la lumière.
La divinité transpire toujours dans une belle âme et se révèle aux yeux et aux oreilles sensibles.
Nous sommes nombreux incarnés dans ce plan pour transmettre l'espoir.
Indépendamment du désir qui se manifeste sur le plan physique, et qui est toujours animé par-delà bien et mal, nous choisissons de nous fédérer et d'être unis par des liens temporels forts.
IL n’y a pas de rencontres fortuites. Ne croyez pas dans le hasard. Vos attirances relationnelles ou culturelles vous caractérisent et vous forcent à vous situer dans ce monde et à réveiller progressivement votre regard.
Aucune ombre ne peut ternir l'éclat permanent du cœur. Ce sont nos filtres qui sont opaques.
La Matière du Monde se transforme comme le métal en Or. Alors plus rien n’est vulgaire. Le Monde est Sublime et vous vibrez sur son rythme. chaque expérience est unique et grandit avec l'évidence qu'elle mérite.
Aucune voie ne mène nulle par, l'important est de savoir si la voie que tu prends a un cœur.
Montez avec la plus grande sagacité de la terre au ciel, et descendez ensuite de nouveau sur la terre, et réunissez les forces des choses inférieures et supérieures; vous posséderez ainsi la lumière du Monde et toute obscurité s'éloignera.
Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.
Il était au commencement en Dieu.
Tout par lui a été fait, et sans lui n’a été fait rien de ce qui existe.
En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes,
Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point saisie.