Quoique nous fassions, quoique nous disions, les mots ne s'imposent jamais. Ils ne font qu'habiller la nudité parfaite du Silence qui nous lie. Mais les mots que l'intuition suggère, sont les messagers des étoiles qui raccompagnent notre âme perdue en la réconfortant sur le chemin.
Le matin quelques exercices de mises en forme. Mais aussi de mise en fond... car c'est une plus grande souplesse encore que celle de notre âme.
Écrire... n'est-ce pas poser quelques petites traces de soi sur le chemin de la vie en espérant qu'ils seront décryptés par nos jumeaux d'esprit? Nos mots mobilisent toute la Lumière de l'Univers pour la rediffuser, comme un matin sur terre.
Si tu entends ces mots alors écoute leur écho dans ton cœur. Les mots sont des embarcations vers Soi, des coques qui nous protègent en nous rapprochant peu a peu de nous même.
Voilà le doux Le tic tac régulier du temps vers Soi.
La dualité est l'horizon complexe qui nous remet en route vers notre Unité simple. Le mal est une énergie dirigée contre les autres pour soi.
C'est le Mental qui gouverne le Monde.
Les plus violents messages religieux ont pris pour base l'amour décliné à toutes les sauces et souvent les plus amères.L'amour n'est donc pas une vertu en soi tant qu'on ne le pratique pas et qu'on ne parvient pas à le canaliser.
Le Mental utilise l'amour avec la plus grande des violences. Ça parait paradoxal mais ça ne l'est pas. Le monde est si complexe que le Mental seul s' y retrouve. Le Mental y est comme un poisson dans l'eau. Le biotope de l'Ego est la complexité systématique qui voile l'essence des choses. Nous manquons de vigilance et c'est pourquoi nous ne percevons plus les fondements élémentaires de notre propre Conscience.
Les certitudes, que le Mental induit, sont d'infâmes conseillères qui doivent passer au crible du cœur pour être mises à nue.
L'intellect et l'ignorance sont les deux mamelles sèches de l'asservissement mental.
Ne rejetons pas le message de paix et d'amour des religions mais rendons-nous libre, face aux stratégies du Mental qui nous veut dans ses fers.
La pratique radicale d'une religion s' éloigne de son sujet. L'Amour s'y est perverti en possession et l'âme demeure sous le joug de l'Ego.
Les anciens chrétiens lisaient aussi la bible littéralement sous son angle le plus liberticide comme le font aujourd’hui tous les fondamentalistes, religieux ou laïques. Et combien de meurtres perpétués au nom du principe divin depuis la nuit des temps?
La religion comme toute chose sur terre, selon le principe de dualité, est parfois aussi une arme par destination, le contraire du principe qu'elle sert.
A l'heure de l’État Islamiste, il faut dénoncer les atrocités commises contre les Chrétiens, non par prosélytisme (un plus grand mal encore) mais par Humanité urgente.
Vos paysages sont ceux que vous créez. Rien de tel qu'un bon intégrisme pour les créer à votre place? ne tombons pas dans le piège tendu! La radicalisation est le contraire de l'éveil : le mental s' y emploie à étouffer l'âme, l 'empoisonner et y substituer un pouvoir temporel. Il y parvient très bien.
L'Ego est un fondamentalisme qui cache la Lumière derrière le son harmonieux de ses sirènes.
La vie est assourdissante de vérités et toutes les vérités s'étiolent dans des attachements absurdes.
Tout attachement, y compris religieux donc, est suspect car il limite notre Liberté ; n'être fidèle qu'à ce qui constitue notre liberté est aussi un paradoxe dangereux.
L'Ego est néanmoins un véhicule utile et commun à tous ; c'est sans doute le plus polluant de l'Univers quand on le nourrit de pensées fossiles. Notre Ego nous trompe toujours. Faut il pour autant lui mener une guerre sans merci et pour le moins fratricide ? Nous sommes aussi cet Ego qui s' anime, nous sommes aussi l'Ego que nous acceptons ou... combattons. nos démons ne sont que notre Ego. Si le combat pour la Liberté et contre la folie liberticide est d'abord et avant tout un grand cri d'Amour, impartial et désintéressé, tout combat est perdu d'avance. Tous les combats sont perdus d'avance car ils nourrissent la racine même du mal.Je ne crois dans aucune guerre ni celle du mal pour le mal ni du mal pour le bien...un fusil qui détient la vérité est toujours suspect.
En guerre permanente contre un monde qui nie notre liberté, notre attitude négative nourrit l'antagonisme même que nous combattons. L'Ego se nourrit des combats que nous menons contre lui.
Le monde est ainsi soumis et meurtri par ses paradoxes. Il agite les extrêmes, passe d'une solution à l'autre et ne fait que rejoindre les deux bouts d'un seul et même cercle vicieux dont il ne connaît plus le centre.
Nos politiques mêmes ne sont pas des guides ; ils n'éveillent pas les Hommes, ils les endorment dans la masse et les formes.
Aucun individu ne doit disparaître derrière le concept de Société, sauf à en trahir l'esprit. Quand l'Homme est fait masse, il est en danger.
On nous dit "la société est responsable"? mais qui et ce "on"? et qui est cette personne asservie et sans visage, qu'est "la société"?
La vérité procède de l'Unité pas de l'union. Et moins encore du conflit qui dissout la société. La Société est le premier maillon vers l'amour, mais le premier seulement. L'union ne fait jamais la force si le cœur ne s'en mêle.
Comment comprendre alors que la masse asservisse plus qu' elle ne libère?
La vulgarité est l'antichambre de l'ignorance, son terreau et sa vocation. Il n'y a de place ni pour le sacré ni pour l'art qui rend libre. il faut autant se méfier de l'ignorance que du savoir. Quand la science aura creusé le spirituel dans les énergies étudiées, l'évidence ne fera plus de place au doute. Alors ils tueront la science! Je sens le mépris et parfois même une certaine violence à l'égard des "fous" que nous sommes, nous qui nous situons dans cet "ailleurs" insaisissable et dangereux pour la pérennité du Mental. J'éprouve ces agressions. J'essaye de vivre avec et de me protéger des insouciants et des malveillants. Mais je n'ai plus peur.
La peur est mère de la violence. Ne combattons pas car la peur et le courage héroïques sont de fausses illusions qui conduisent aux affrontements et à la permanence du conflit. La chair à canon se nourrit à coup d'amours. L'amour de la Patrie est un prétexte à tuer. L’amour d'un Dieu est un prétexte à éliminer les infidèles. Et la fidélité est un attachement qui exclut et qui se fait violence à sa propre infinitude. .
Ils te railleront, ils te jugeront, ils te condamneront, ils t'abattront mais ils n'épuiseront jamais l'Essence qui te grandit. Alors ils tenteront de t' éliminer mais n'y parviendront pas car ils ne peuvent perturber ton détachement.
Je ressens la souffrance infernale de ce monde perdu dont le mental cherche à atténuer l'intensité par des artifices grossiers. Examinons bien si par quelques moyens, nous n'en entretenons pas nous- même un peu la flamme.Le monde sera toujours plongé dans ses paradoxes inconciliables si chaque individu qui le compose ne se réveille pas.
Mais l'individu préfère le confort quitte à devenir propriété d'un tiers qui la lui permet.
Personne n'est la propriété de personne sur cette terre. Pas même de Dieux personnels et exclusifs dont les fils pourraient combattre ceux d'autres Dieux concurrents.
Il n'est en vérité pire esclavagiste que soi-même qui y consent, subordonné au Mental.
L'Univers est permanent et incréé. Tout le reste est une construction mentale, qui est résistance à la Lumière, attachement et exclusivité d’esprit, écoles et dogmes séparés.
La doctrine est confortable car elle dissipe les doutes en entretenant l’ignorance, bien au chaud.Tu construis ton univers mental avec les couleurs que tu connais ou reconnais. C'est ta palette personnelle.Nul ne peut ni ne doit imposer son modèle car rien ne naît en Soi de vertueux qui ne soit spontanément et personnellement éprouvé.Il n'est pas souhaitable de rendre perméables à la lumière les membranes opaques car on les aveugle par trop de brillance ou parce que simplement la Lumière ne peut pas passer. Si leurs membranes sont trop épaisses ne tente rien. Tu perd ton énergie et tu risques même de te décourager.
Car malgré tout, dans ce monde de belles rencontres humaines l'égayent. Des gens avec qui nos vibrations se rejoignent.
J'aime plonger les yeux dans un destin qui croise mon intime. Quand nos bulles se rejoignent et se connectent.Il faut revenir aux choses simples. Rien de ce qui est complexe n'est permanent.
Aucune vérité ne s'impose donc. Vis Ta Vérité.
Nos distances ne dépendent que de nous. Si la périphérie nous délimite, c'est pour nous rapprocher du Centre et transcender nos frontières.
Mais les paroles éparpillent ce que le silence concentre et je connais les limites des discours fleuve. C'est pourquoi je préfère la musique que l'Univers nous envoie. Écoute....
Au Cœur, la Source désaltère.
Mettre à jour là Source ... quelle belle aventure. Les explorateurs des temps modernes ne découvrent plus de Terres nouvelles mais le Ciel lui-même.
Nos paroles et nos mots engagent le Monde entier car nous sommes connectés a une toile cosmique infinie qui préexistait au Web et lui survivra.
Mais ne remets pas à demain ce changement si tu sens en toi germer cette joie infinie. L'espérance est un déni du présent.
De toute Évidence, aucun retour en arrière n'est possible. La Source désaltère ceux qui s'y replongent et on ne s'en éloigne plus, ni longuement ni très loin.
Changer n'est donc un choix guidé ou imposé, c'est un choix consenti et opportun.On choisit de changer quand le cœur le commande.
Ici et maintenant, archéologues du Cœur, nous sommes des inventeurs de Vie et nous ravivons jour après jour l'éternelle flamme intime.
Le temps du Kairos est le seul qui nous situe dans la permanence de l'instant vrai : sans prison d'hier ou de demain.
Ne combattons plus les ténèbres avec ses armes mais ravivons, une par une, nos chandelles personnelles en accueillant la Lumière qui nous attendait.
Il reste toujours assez de Lumière même dans la plus impénétrable nuit.
Oui. Chaque seconde est une exploration...On s'extrait du connu vers ce Soi qui nous attendait.
Ce qui gêne la Lumière n'en épuise pas la Source. Un jour nos masques nous irritent tant l'âme que nous finissons par ne plus vouloir les porter. Les âmes ne sont pas faites pour vivre en cage.
Le Silence synthétise les contraires, non en une nouvelle vérité mais par la vacuité qui est absence de vérité.
Le monde est né pour être contemplé.
La Vie exulte de la succession des instants magiques qui crée du sacré dans l'Homme.
La Joie est cette espérance instantanée de la permanence oubliée.
Les petites joies dans le monde sont une réminiscence de Lumière dans les plus sombres ténèbres.
Il n'est ni nuit ni jour ; il n'est ni case noire ni case blanche, juste UN.
Il a les couleurs de l'été mon jardin éternel. Il se cultive au présent des fleurs qui ne fanent pas et des fruits qu'on consomme à satiété.Nulle souffrance heureuse, nulle désirable. Je cultive ses graines, en causes délectables, ange en guenille dans les jardins perdus.Toute fleur est un prétexte au sacré.
Derrière un beau visage se cache le paradis...ou peut être l'enfer. Mais l'enfer ce ne sont pas les autres. L'enfer est présent dès qu'on cède à ses avances faciles. Et on l'aime notre enfer. On l'aime parfois à en mourir. L'enfer c'est nous mêmes, chacun de nous, perdu en périphérie de Soi-même.
Autant de merveilles à contempler et si peu pour les respecter...Le confort-misme calme les foules jusqu’à la léthargie.
Un jour l'enfer s'estompe comme les ténèbres sont remplacées par la Lumière. Nous redécouvrons la nudité essentielle de l’âme.
Nos Egos ne franchiront pas les barrières du temps ; l essentiel de nous même est nu.On peut faire attendre le paradis ; jamais l'enfer.
L'ange est toujours nu... il s' est débarrassé des couches obscures qui l'isolaient de lui-même. Essen-ciel, l'éveil est attaché au silence paisible ou au bruit de l'eau qui coule.L'Essen-Ciel est en Nous, et ce Nous EST cet Alpha et cet Omega qu'il n'est pas utile de nommer et qu'il serait vain de formaliser, puisqu'il n'est pas concevable dans l'étroitesse de nos esprits terrestres. Ce souvenir et ce ressenti de SOI se manifeste au travers chacun de nous, en interaction et intrication. Nous vibrons à la vitesse de l'Amour canalisé.
Cet Amour est le Sublime de la compréhension, de la pleine conscience, du juste équilibre des forces contraires. Le dire est déjà superflu.Tu ES cette poussière d'étoile et comme chaque étoile tu as un jumeau. Les énergies sont indissociables et forment un TOUT immuable. l'ENERGIE est UNE. Nous SOMMES.
L'amour n'est ni bien ni mal. Il faut qu'il soit canalisé car les plus grands tyrans aimaient et aimaient être aimés.Le comprendre est le début de l'éveil et la fin de la séparation.
Écoute, entends le son originel de l'Univers qui n'a cessé de te parler tandis que tu lui préférais le bruit assourdissant de ton histoire.Si chacun prend les rennes de sa conscience alors il devient son propre guide ; Un bel Égrégore porté par tous surgit comme l'arc en Ciel, sourire né de la rencontre entre la pluie et le Soleil.Il faut croire dans la succession des rencontres qui nous construisent et qui nous rassurent.
Non, nous ne sommes pas seuls. Non, nous ne sommes pas fous. Peut-être juste des illuminés, dans la nuit des ombres.L'altérité que l'on puise chez les gens, dans les livres ; ceux qui sont d'accord mais surtout ceux qui nous bousculent.
Nos paradoxes, nos contradictions sont autant d'énergies complexes qui sont des chevaux fous que l'on ne peut sceller.
Le partage est la Fin et le commencement de la Source.
Les meneurs d'âmes ont une éternité d'avance sur les meneurs d'hommes ; ils ne favorisent pas l'endormissement des foules, mais leur éveil. On devient tous agitateurs d'âmes quand on a connu l’Éveil.Quand le Monde cesse de paraître tel qu'il était, se découvre alors cette partie de toi qui transfigure tout ce qui n'était pas vraiment. Alors le vieil homme peut mourir et l'enfant peut re-naitre.Il est toujours temps de retourner en enfance, cet état spontané que la Source nourrit. L'enfance file à la vitesse d'un cheval au galop. Maîtrise son pas mais ne méprise jamais sa fougue.
La Vie, c'est remonter le temps vers soi-même et non simplement remonter sa montre.
Accueillons l 'enfant qui est en nous et que nous avons abandonné au profit de nos conventions étriquées et graves.
L'humilité n'est pas s' enterrer au fond d'un trou, c'est lever les yeux en gardant les pieds sur Terre.Un monde plein de promesse est une escroquerie. Ouvre les bras au présent et tu n'attendras plus jamais la Vie.
C'est la Vie qui t 'attend.Pas besoin de convaincre. Le son de l'Univers suffit pour Con-naitre et se connaître
.Ne cède plus à la peur profane. La Terre a besoin de ton bouclier de Lumière face aux ténèbres qui l'encerclent.
Aucun éveil collectif n'est possible sans premièrement le nôtre. Rien ne se révèle à nous, sans que nous soyons d'abord présents au monde et à nous même. Le monde a besoin de nous autant que nous avons besoin de lui. Aucune lumière n'a l'éclat de celle qui éclaire nos cœurs.
Tout est déjà en Nous dans sa plus simple expression. La Lumière ne se cache pas. Elle est éclipsée. C'est tout!
.Le projet ne vaut que dans la réussite, ici et maintenant. L'instant est Éternité. Être Soi pleinement c'est vivre le Tout en Conscience. Sois.l’Éveil c'est aujourd'hui, jamais demain. En tentant de comprendre, on ne comprend pas, on reste ignorant.
Céleste comme tout ce qui relie l'Homme à lui-même en même temps qu'à tous ses semblables, la Source est flamboyante.
Notre terrain de Joie est Céleste.
En Amour le lien à la Source, nourrit les personnes qui y puisent. En passion l'attachement affame les amoureux qui s' épuisent.On abdique face au Mental qui offre des secondes et l on résiste à la joie qui donne l'éternité ; voilà notre paradoxe. Refuser le Présent!
Aucune peine ne vaut de s'y abandonner toute une vie, la Joie seule est éternité.Ce n'est pas un corps que tu désires, c'est une âme qui parle aux étoiles, une symphonie originale recomposée.
On a tous rendez-vous avec nous même sur ce chemin de terre et avec ces mélodies qui nous touchent parce qu'elles nous interpellent soudain.Si le chemin nous paraît long, regardons les étoiles. Captons la réception dans notre cœur, pas l' émission de notre bouche.
Je ne dispose d'aucune vérité que tu ne puisses découvrir par toi seul. Mesure ta Vérité en termes de joie ressentie et partagée.
Te résoudras-tu à passer les quelques infinitésimales décennies qui te restent à vivre en périphérie de toi même? Pourquoi pas? Mais quelle joie en tires tu?
Le tourbillon des préjugés et du Mental commun qui te maintient dans l' ignorance et la peur... Est ce le Seul Monde auquel tu crois?
Plus de terrain propice à l'Ego dans l’Éveil. Ni force ni frottement ; juste l' indifférence spontanée aux attractions profanes et la Joie comme état naturel.
Rien n'est grave ... la liberté suppose le détachement, l'évidente légèreté de l’Éveil. L'Ego construit le poids que le cœur sait alléger.
Je ne connais pas d 'idéaliste fondamentalement triste ni de matérialiste fondamentalement joyeux. Le premier est libre et le second esclave.
Regarde la nature : elle ne mire pas son reflet dans un miroir et se connaît pourtant spontanément par cœur. Sois comme elle, sans Ego ; spontané et vrai ; sans conditions.
L'Amour n'a pas de religion. Il désarme. il ne connaît aucune limite Il est Pure énergie constructrice. Nous filtrons l'Amour comme nous pouvons.
L'Amour ne dépend pas de la qualité de notre filtre : Il EST.
L'Amour n'attend rien en retour qui compléterait un espace laissé libre, puisqu'il EST, pleinement et totalement.
Le malheur de l'Amour? son retour sur investissement qui n'est pas directement perceptible pour l'Homme ; il lui préfère donc toujours la haine.
Se sentir Terre dans un Ciel infini ou, Ciel sur une Terre sensible et sentir l'Essentiel vibrer, au cœur du Monde.Un peu, beaucoup, passionnément,à la folie. Et si c'est cela la Folie alors oui, nous pouvons la revendiquer sans crainte.
L'argent achète tout sauf l'essentiel qui est la quête ultime de la Vie. Ton bouclier contre l'absurde? L'Amour.
D'oubli en oubli, l'Homme réussira à abolir son passé et à s'abolir lui-même"
La beauté n’est pas dans les choses, elle est dans nos yeux.
La pensée qu'on avait écartée et qui revient, il faut y prendre garde : elle veut vivre.
L'essentiel est sans cesse menacé par l ' insignifiant.
La vie entière se compose d'une aspiration et d'un souffle.