Les bruits toxiques du monde couvrent le Silence Initial.
Le sens de l'amour n'est pas une ligne d'horizon, c'est un escalier en colimaçon qui conduit au Centre de Soi, dans une région que le Moi ne peut saisir.
Sous la voûte du Ciel, nous marchons de long en large sur un plan souvent trop horizontal. Pensons nous plonger à la verticale de Soi pour y observer le Monde et le ressentir à la racine de Soi? N'oublions pas que les étoiles entourent le globe et que l'Essen-Ciel porte l'accessoire, le précède et lui survit.
Où sommes nous situés? Entre Ciel et Terre? Entre Terre et Ciel? Et si la Forme se nourrissait du Ciel et si le Ciel formait la Terre? Et si toutes les formes perçues, n’étaient que des créations ou des co-créations éphémères, soumises aux changements, dont nous serions les Centres?
Ce « Je Suis », que nous sommes, se déploie au travers les formes duelles du monde visible, mais derrière le Voile épais de nos perceptions et habitudes conformes, nous recueillions toute la sève de l'arrière Plan du monde, libérant progressivement notre "Moi", en Conscience de la Source Sublime.
L’Esthétique n'est pas seulement l'Art du Beau, c'est d'abord l'Art de Soi. Car le Beau, fleur originelle, s'enracine en notre terreau fertile. C’est aussi l’art de la fragilité, celle qui fait la Force de la Beauté.
Nous avons une vocation, en passant par la souffrance et la fragilité, qui abat nos défenses Mentales : redevenir le Canal de l'Instant, en nous rendant léger aux pesants souvenirs qui nous encombrent, en vivant sans retenue cet Instant occulté par nos erreurs et plein de nos possibles.
L'âme se déploie, chair et souffle, visible et invisible, au gré de nos apprentissages. Vivre c'est rassembler tous les pôles séparés de Soi, ne plus faire qu'Un, à partir du Multiple, déconstruire la complexité du Moi et consacrer la simplicité originelle du Soi.
L'âme est un château de cristal pur, qui ne sait se protéger elle-même. Sa fragilité est la condition de sa Force. Plus les murs qui la voilent sont hauts et imposants, et plus ils nous isolent de Soi. La Force de ces murs, fait notre faiblesse et leur faiblesse fait notre Force. A mesure que nous nous rapprochons de nous-mêmes, nous faisons tomber le voile occultant qui couvrait notre profondeur. Nos tours doivent tomber sans doute, pour nous élever et comprendre, en profondeur et en hauteur, ce qu’abritaient nos enceintes.
On ne grandit jamais mieux, qu'en faisant corps avec ce qu'on a de plus précieux: la transparence de l' Invisible. C'est aux parents d'y veiller en pleine responsabilité. Mais combien en ont eux-mêmes Conscience ? Le plus précieux cadeau n'est jamais le plus cher, mais il n'a pas de prix. Il est fragile, discret et sans forme, mais l'on ne peut offrir à ses enfants, que l'enfant qu'on a su rester Soi-même.
L'Enfance...n'a pas d'âge.
L'Enfance, (Lat. infans: qui ne parle pas) c'est l'âge, sans apparence, le Verbe sans forme menteuse. Le mensonge est fort, mais la fragilité est nue et sans défense. Pourtant, dans sa fragilité, l'enfant est immortel.
L'enfant qui chante en moi, n'a pas fini de me surprendre. Je l’ai quitté fragile, et je lui ai substitué une armure pesante de tout son poids d’adulte. Si souvent à l'étroit dans des carcans trop lourds, on tente alors de s'alléger de rêves et d'insoumises amours, qui sont autant d’intuitions pour le grand voyage du retour. Car l’enfant intérieur ne cesse jamais de nous inspirer, depuis cet instant où nous l'avons trahi.
L'Innocence est fragile, car on s'emploie à l'occulter du pan épais de notre indifférence et de notre mépris d'adulte, logique Mentale qui l'a couvert d'un masque de peau épais et imperméable au Sublime.
Mais l'Innocence demeure la seule Force de l'Homme, l’âme à nue qui a des ailes. Avez vous ressenti ce besoin de hauteur, cet appel à l’altitude ou à la profondeur, résonner du tréfonds de votre Cœur, quand la Vie vous malmène, quand les autres vous éprouvent ou quand la solitude vous pousse à réfléchir sur l’absurdité de votre existence, en infléchissant la dureté de vos certitudes ?
Si les papillons restaient dans notre ventre, sans pouvoir rejoindre le Coeur, ils seraient dissous, avant leur envol, par notre suc gastrique. Notre Mental, pétri d’orgueil, serait un combattant sans Coeur, jusque dans les formes les plus extrêmes de violence, sans jamais se remettre en question, fermant la porte à toutes les voix et voies dissonantes. L’épée serait une arme personnelle, l’outil de la mort, l’outil de l’appropriation, sans discernement.
Mais l’histoire a une fin. L’histoire a un but caché, qui ne se résume pas à une simple parenthèse hasardeuse de vie brève à remplir sans vergogne. L’Histoire donne un Sens à notre Humanité. L’épée ne tue plus, elle tranche, et nous oriente vers Soi, en nous désignant le chemin lumineux du Coeur.
L'épée ne tranche pas sans coupures.
L'âme est sans Histoire : L’Histoire, la rend libre et pleinement Joie. L'histoire lui donne un sens. Le Cœur nous oriente, chargeant et déchargeant les nuages éphémères qu'on porte de pleurs et de joies. L'ombre nous protège des soleils trop brûlant, le soleil nous réchauffe de nos ombres trop froides. Crevons les nuages épais qui opacifient notre ciel bleu. Pleurons autant qu'il faut pour libérer l'azur.
Quand on FAIT l'amour, de chair ou d'âme, on mobilise l'Amour; Peu importe les doutes ou erreurs, pourvu qu'on persévère. Être et Faire se juxtaposent un jour.
Nous sommes tissés de fibres de grâce, derrière cette peau trop dure, vêtement sale qui couvre notre âme et masque notre Originelle Nature.
Il n'y a pourtant pas de voie irréconciliable entre matière et spirituel. La Séparation Mentale seule, induit la Dualité. On renaît de l'Unité éprouvée. Le serpent de l'extérieur nous empoisonne, mais de l'intérieur il nous nourrit.
L'émerveillement se situe toujours bien au-delà du perceptible et du transmissible, mais cette impression Intime met du soleil dans nos yeux. Et ce Soleil se remarque toujours un peu, car il abonde, malgré nous parfois, un peu de nos cœurs trop vides et secs.
Les fleurs de l'amour s'arrosent chaque jour, sans quoi la sécheresse des habitudes les tue. Les fleurs meurent et revivent aux printemps éternels. La Beauté s'imprime partout où l’œil se pose, mais l’œil subit les cycles du changement et de l’impermanence. L’œil voit et écoute le monde au travers des filtres épais qu’il doit comprendre, en Conscience.
On n'échappe pas à la souffrance mais la Foi est une espérance intime qui nous fait survivre aux pires folies d'hommes.
Il faut de heurter à la différence pour re-connaitre notre similitude Initiale. L’expérience nous forme et permet cette déconstruction nécessaire et salvatrice. L'Action confirme l’Être. On n'est jamais plus le même quand on dépasse les limites étroites de la perception. On Agit, on ne s'agite plus.
L’Amour est un apprentissage. On apprend à le reconnaître, dans l’adversité d’abord. Si Tout est illusion, Tout est aussi un Sublime Mensonge. Car le Mensonge est un voile qui signifie...Un voile qui guide vers Soi, pour peu qu’on s’autorise à le lever. L’Histoire est un voile qui dévoile.
L'accessoire, est la couche visible de l'essentiel invisible, la cristallisation formelle de l’indéfinissable, la chair du souffle.
Le vide crée le manque Mental, par absence de Résonance ; le cœur replié et captif ne capte plus la Pleine Vacuité. Il est coupé du Verbe.
Le manque naît de l'éparpillement de Conscience. Le Sublime ne parle plus à l’homme qui s’est coupé de lui-même. Deux manques ne font pas une plénitude, mais deux plénitudes fusionnent deux Êtres en UN, sans manque.
C'est pas facile d'accepter l'idée que notre liberté passe aussi par celle de l'autre. C'est pourtant LA condition authentique de l'Amour. Dans la vie on a besoin de deux choses : des bras pour s'attacher à ceux qu'on aime, et un cœur pour les en rendre libres.
La passion, jamais mauvaise, nous aide à nous dépasser, à transcender les obstacles qu'on croyait infranchissables, à trouver la Clé de Soi.
Le sentiment est l'émotion la plus spontanée de notre Être profond, le ressentiment, l'émotion la plus spontanée de notre Être superficiel. Alors on oscille entre absurde et sens, à l’horizontal du Plan qu’on croit fini jusqu’à se frayer une brèche par la verticale de l’axe ouvert par notre fragilité.
L'Amour est une proposition, pas une imposition. Il ne coûte cher qu'en l'ultime sacrifice sur Soi que nous devons à la Liberté de l'autre.
"Faire" l'Amour, c'est donner du corps à "l'Etre", incarner l'Infini de deux trajectoires intimes dans l'intensité d'un bloc, même éphémère.
Un jour on soulève le voile sans même le vouloir. Le Mental n’est plus un frein. On ne raisonne plus, la tête s’est tue, l’œil du Cœur s’est ouvert. Les victoires sur soi-même effacent l'effort qui y conduit.
Le jour ou l'on comprend que le secret de l'immortalité n'est pas caché ailleurs qu'en Soi, aucun mur Mental ne peut plus nous cloisonner.
Le Feu s’élève et monte progressivement : il progresse depuis la terre le long de notre forme et sélève jusqu’au Ciel. Nous sommes ce feu, d’abord trop ardant, brûlant et trop brillant...on Apprivoise le Feu de la Vie, celui de la con-naisance. C’est d’abord une guerre… mais bientôt cette quête se pacifie et l’Amour se déploie et se répand.
L’Homme fragile a vaincu sa Force illusoire et l’absurdité de son chemin sans but véritable. Il a changé de Plan. Son expérience l’a poussé à l’humilité, à la position fœtale de l’enfant tous nu livré à la violence du Monde. La douleur le pousse à terre, il se replie sur lui-même, son Coeur apparaît sous l’armure blessée, à Coeur ouvert !
Un jour, on re-connait le chemin, car il est la voie intime que le Coeur désigne d'évidences et de signes.
Un jour on se réveille, touché par sa propre transparence. On n’est plus que cristal et chaque face de Soi, reflète la pureté des dieux ou celle des enfants.
La fragilité inspire la plus grande tendresse : le signe manifeste de la puissance à nue de l'Amour. C’est alors que le côté glorieux de notre sensibilité recouvrée rentre en résonance avec tous ceux qui ont atteint ce niveau de vibration. C’est alors que l’on partage la même réalité de Conscience, libérée de ses brutales et lourdes chaînes.
Alors, j'ai vu dans la matière la trace de mon âme. Plus rien alors n'existerait sans elle. Plus rien ne salirait ma vision essentielle.
Sans plus de Controverses.
Avez-vous senti derrière le parfum, derrière la couleur, derrière la forme, combien l'harmonie dispose de notre regard pour nous combler?
La pleine conscience fait coïncider sur un axe central, l'éternité et l'éphémère sans plus aucune contradiction.
Dans le Silence et la Solitude, un jour le Monde nous parle, et nous restons sans voix. Le Verbe n'est jamais que Silence. Tout le reste est bavardage.
S'il y a un miracle, il s'accomplit chaque jour sous nos yeux. La magie, quand on a la chance de la vivre au fond de Soi, révèle le pan sublime qui nous attend. On ne doute jamais plus longtemps alors !
La pleine attention élimine toute notion d'attachement, car:
Here and Now,
We are UniVerse.
On comprend alors toute la vanité de nos combats d’Ego. Car on ne se bat pas en Amour, on rend les armes et on avance nu. On ne doit pas poser ses bagages encombrants à la fin du voyage mais dès le début, on ne devrait pas s’enorgueillir de sa puissance d’homme, mais en louer toutes les exquises fragilités. La base de l'Amour est toujours l'attention remplie de Soi et de l'autre, en Conscience mais souvent d’abord, malgré Soi.
Qui a intégré l’Éternité et la Nudité Originelle, a compris la relativité des demains et des hier. Il a compris aussi que la pudeur qui veut rhabiller est souvent bien plus vicieuse qu'une impudeur spontanée, qui nous rend à l’État Initial.
Il devient l'inspiration permanente au milieu des saisons. L’Éternité se manifeste dans l’’expérience de l’Amour. On tâtonne d’abord, puis on sait marcher. A bien aimer on se projette hors du temps, on pressent l'Essence du Monde, on avance, immortels.
Plus rien ne s'obscurcit pour ces âmes Solaires, qui captent la Lumière, telles des lunes éternelles sublimées par leurs nuits. Elles rient comme des enfants. La Joie est leur état. Il faut rire, à tombeau ouvert. Quand on rit, c’est toujours de « bon Cœur ». Celui qui ne rit pas n'a pas d’âme. Le couvercle s'est refermé sur sa Vie. Car la Joie est la Conscience-Une. La dualité son moyen, l’Histoire qui y conduit.
Cette famille que je reconnais chaque jour, celle qui m'invite et que j'accueille, a le Cœur qui bat au rythme de L'Essen-Ciel. Je la reconnais d’abord par la trace de l’étincelle qui jaillit de vos yeux. Mais bien plus encore, je vous pressens, bien au-delà de toutes nos vaines et fausses barrières. Chaque âme étant poreuse à l’autre dès lors qu’elles vibrent sur un même degré et sur le même Plan.
Méditer n'est donc pas juste s’asseoir en tailleur immobile, mais c'est avancer au contraire, vers cette contrée intérieure dynamique. C’est « faire corps » avec l’Essen-Ciel.
La Foi sans effort.
Libre à vous de croire ou de ne pas croire. Cette Liberté est la Beauté même. Le Monde perçu ne se révèle qu'à ceux qui ont trouvé la clé et cette clé c'est l'Amour. Non pas seulement le goût romantique fait d'attachement et de possession, d'émotion et de doute, mais la saveur indéfinissable qui reste quand tout l'accessoire resplendit à la Lumière de l'Essentiel. La Liberté ce sont autant de marches vers Soi, autant de voiles qui tombent à chaque sursaut de Conscience, autant de jaillissements qu'on ne peut mettre en mots tant le Verbe est insaisissable par le seul plan Mental. Oui. Il faut changer...changer de Plan, changer notre perspective, lui rendre la profondeur Initiale et immanente de laquelle nous sommes issus. Ces Plans procèdent d'un seul Foyer et nous contribuons en sa co-création permanente selon notre (de) gré de Conscience.
On n'a pas besoin des mots pour sentir le Silence. On a besoin des mots pour inviter au Silence et fédérer les Cœurs vers lui. J'ai posé des milliers de mots, mais la Beauté n'est pas exprimable ; Elle se situe entre tous et Tout, et repose dans le Silence insondable.
A mes ex lourdes chaînes, j'ai substitué des entrelacs d'Amour. Ils n'attachent pas les Hommes, ils les relient. Ca fait toute la différence !
Il n'y a Rien à attendre.
Rien à espérer.
Rien à redouter.
Rien à mépriser
Rien à renier
Rien à retenir
Juste à Vivre
Ce qui se présente.
In Side,
In Sight...
La fin ne fait peur que si l'on croit finir. Le Présent, conduit aux demains sans angoisse. Le bonheur se fout de sa cause et de son effet. Il jouit de la sève de l'Instant qu'il ne sait pas contourner.
La fleur du printemps est pareille à notre Cœur. Elle s'ouvre à la Lumière, sans plus mépriser la sévérité des automnes qui la mettent à nue et des hivers qui lui donnent froid.
Partager une même profondeur, voilà l'Amour. Et il est sans limite via l'épreuve.
Je crois qu'on prend tous conscience un jour, que l'Amour est ce partage de l'Instant, sans limite de frontières et de temps. Chaque atome de l'Univers est une danse, en Soi, qui n’a ni cause ni fin, mais qui EST, Joie de Présence Infinie.
Nous sommes, des papillons entre Ciel et Terre. Nous savons voler, maladroitement encore. Mais nous pouvons compter l'un sur l'autre, pour nous élever, aussi loin que nos cœurs étaient jadis enfouis, dans l'infini. Voler, c'est lever tous les mirages et révéler la Lumière de l'infini dans son cœur.
Bien sur, on a tous l'envie de voler. Mais combien rampent encore qui sentent pourtant confusément quelque chose qui les démangent à l’arrête de leur dos. Le Vol n’est pas optionnel, mais il nécessite une compétence « spéciale », à révéler.
Il n'y a jamais de rêveurs fous. Mais combien de fous qui ne rêvent jamais? L'utopie n'est jamais du rêve perché, mais l'élan naturel pour tout se qui se cache derrière la médiocrité, un refus de la médiocrité. Aux autoroutes payantes et bondées du Mental, préférons les chemins escarpés et sublimes qui mènent au cœur, gratuits et peu fréquentés.
En me disant "perché" ils m'ont fait comprendre à quel point j'étais libre sur ma branche, et à l'abri, loin de leurs cages. Pour être « Spécial » il faut être fou. Non cette folie dont on se moque, mais celle qui suscite le respect et l’amour. Celle qui suscite aussi la peur et le mépris de ceux qui la combattent.
Le monde est notre écho. Soyons ce qu'on veut qu' il soit, il sera ce que nous ferons pour l’Être. Laissons le Monde faire de nous ce que nous Sommes.
Et la Vie coule doucement entre milles jours, mais tous, nous avons rendez-vous avec la part la plus belle et la plus unique de Soi.
C'était juste un jour comme un autre, plein d'une promesse de printemps. Des papillons « spéciaux » virevoltaient le long des berges d'un lac paisible. Je les observais, ils faisaient ici et maintenant, partie de mon monde intérieur, j'étais devenu l'un d'eux, et mes yeux se remplissaient de Soleil généreux.
Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l'homme telle qu'elle est : infinie.
La paix vient de l'intérieur. Ne la cherchez pas à l'extérieur.
Tu as tout à apprendre, tout ce qui ne s'apprend pas : la solitude, l'indifférence, la patience, le silence.
La démence est rare chez les individus, elle est la règle en revanche dans un groupe, un parti, un peuple, une époque.
Le printemps est inexorable.
Ce qui embellit le désert, c'est qu'il cache un puits quelque part.
I Am in You You Are in Me Mutual in Divine Love.
L'homme est un être double.
La douleur dit : " Passe et péris." Mais la Joie veut l'éternité, veut la profonde éternité.
L'univers d'une personne est aussi grand que son coeur est bon.
Le coeur est le centre dont tout jaillit.
Voie de l’encre et Voie du sabre nécessitent toutes deux un mouvement perpétuel d’aller vers l’Infini et de retour au Centre.
Nous vivons des myriades de secondes et pourtant,il n'y en a jamais qu'une,une seule,qui met en ébullition tout notre monde intérieur.
Dans nos ténèbres, il n'y a pas une place pour la beauté. Toute la place est pour la beauté.
Il y a tant de possibles auxquels il suffit d'ajouter un peu de foi, un peu de soleil et d'étoiles pour les voir fleurir.
J'aime ceux qui ne savent pas trop pourquoi ils aiment, c'est qu'alors ils aiment vraiment.
On ne peut rien trouver extérieurement que l'on ait au préalable trouvé intérieurement, c'est une loi.
Un homme devrait chercher ce qui est, et non ce qu'il croit devoir être.
Le Mental intuitif est un don sacré et le Mental déduction est un serviteur fidèle.
L'intuition est l'instinct de l'âme.
La pensée sans poésie C'est comme un paysage sans ciel : On y étouffe.
Sois humble, car tu es fait de terre ; sois noble, car tu es fait d'étoiles.
Et dans la tempête et le bruit La clarté reparaît grandie.
Les fleurs du printemps sont les rêves de l'hiver racontés, le matin, à la table des anges.
On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser.
Aimer c'est humain. Ressentir de la peine c'est humain. Continuer à aimer dans la peine, c'est purement angélique.
La raison est le pouvoir de l'homme, l'intuition est la prescience de la femme : l'un rampe et l'autre vole.
Il n'est d'autre connaissance qu'intuitive.
C'est avec la logique que nous prouvons et avec l'intuition que nous trouvons.
L'intuition est la perception via l'inconscient, qui nous parvient a travers les couches subliminales de notre être.
… parvenir à un point exceptionnel où la saveur de l'instant baigne tous les contours de la vie intérieure.
L'amour véritable commence là où tu n'attends plus rien en retour.
On ne peut pas tout vivre, alors l’important est de vivre l’essentiel et chacun de nous a “son essentiel”.
Tâchez de garder toujours un morceau de ciel au-dessus de votre vie.
J'ai tant d'azur dans l'âme qu'on y voit que du bleu.
La physique quantique pénètre au Coeur du Mystère. Elle traduit ce que la sagesse et l'intuition des hommes a toujours su. C'est une superbe aventure que de plonger au Centre initial de nos perceptions...