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Chris le Gardien auteur
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Que la Lumière "SOI" ...

Que la Lumière "SOI" ...

Que la Lumière "SOI" ...

Si j'avais un souhait, un seul? Ne plus rien souhaiter d'autre que le Présent nous offre déjà et depuis toujours. L'Instant du Cœur parfait, est Un. Il est libéré de ce qu'il n'est plus ou pas encore. Il Est, l'âme du Monde en Conscience et individualité.

L'éparpillement est un "Moi" qui divise et se perd, le rayonnement un "Soi" qui rassemble et transmet.

L'Instant, est l'état du Temps Sacré qui ne divise pas, le seul Temple qui rend tout son espace au Cœur, l'Unité de la mesure illimitée qui éclaire et rassemble ce qui était séparé.

Cet Instant Magique, c'est le jaillissement de l’Éternité et LA Voie en chacun.

Ce monde ne m'intéresse qu'en ce dont je le sais capable, mais qu'il n'accomplira qu'au compte-gouttes de ses âmes conscientes qu'il méprise encore.

 

Mon enfant, je ne peux pas t'offrir un monde meilleur. Je ne peux t'offrir que le meilleur du Monde dont tu connais les plans et que tu bâtiras, en toi.

 

J'ai compris en 46 ans que nos guerres étaient vaines et qu'elles nourrissaient l'Ego des peuples comme les conquêtes amoureuses nourrissent celui des Hommes. L'illusion de nos forces rétablit la Vérité de toutes nos faiblesses. Ainsi on se rencontre Soi-même.

L'Amour n'est pas, et ne doit pas être une obsession. L'obsession des Hommes tient dans leurs seules ombres, les fantômes de leurs angoissants conforts et l'absurdité enivrante à laquelle ils se livrent.

Moi, j'ai faim d'une Vie sans fins, dont j'apprécie le goût sucré ou salé, la saveur sublime ou parfois trop amère, de ses trop courtes parenthèses dont je comprends pourtant la fabuleuse utilité.

Nous sommes des petites parenthèses de temps, mais surtout des bulbes Sacrés en terre. Nous ne sommes rien, les uns sans les autres, mais nous sommes toujours complets malgré nos solitudes, nos doutes et nos égarements. Rien ni personne ne nous arrachera ce Cœur indestructible.

Tout ce qui a été engendré a vocation tôt ou tard à se rebeller, contre l'illusion de sa fin et contre un système Mental et entretenu qui le maintient dans la violence et l'absurdité d'un tel désespoir.

 

Te souviens-tu ? quand nos sourires d'enfants avaient encore le goût de la barbe à papa? On les distribuait sans compter, au rythme de l'innocence aujourd’hui perdue. Et si nous retournions ensemble à la fête foraine, croquer dans une vraie pomme d'amour?

 

Le souvenir n'est pas qu'une mémoire morte, il est aussi de la Présence vivante dans l'écrin d'un Cœur qu'elle habite. Quand l'Innocence nous touche au Cœur, elle nous fait toujours partir à la rencontre de Soi. Parfois on se souvient de l’âme que nous sommes et n’avons jamais cessé d’être derrière nos formes vulgaires et nos airs si viciés : Voilà alors la Vie que l’on transcende, voilà la seule imperfection qui nous élève, plus celle qui nous rabaisse. On prend appui sur elle, et elle n’est plus ombre, elle devient Lumière.

 

 

Il est plus belle folie de n'être jamais trop sage

Les jardins les plus vrais sont les jardins sauvages.

 

L'In-Connu n'est finalement rien d'autre que ce qui se cache dans le con-forme et "connu" qui rassure. Il faut du courage pour se perdre dans l'In-connu et de la solitude pour s'y re-connaitre, sous la pression des foules. L'in-connu indiffère et pourtant, c'est l'inconnu qui fédère.

 

****

 

La Nature n'attend de nous qu'un peu de respect et beaucoup d'attention, car elle est le miroir de ce que nous sommes, en conscience. Sa Beauté se mérite et on la traite ... comme on se mérite.

Toute fleur naît de son éternité et y retourne. Il faut juste qu'un Cœur pur l'ait vu s'épanouir au grand jour, pour qu'elle y reste gravée à jamais.

On n'a pas besoin d'être deux pour être Soi, mais on a besoin d'être Soi pour être deux. Et le deux a besoin de la reconnaissance du Un.

La foule nous perd, mais le Cœur nous retrouve. Car, aucune colère, aucune rage, aucun malentendu ni aucune séparation n'entament la marche de l'évidence intime d'être deux ou d'être seul. On ne réfléchit pas l'évidence, on la vit et elle a toujours à nous apprendre.

Ne vous méprenez pas sur le désir et sur l'amour. Toute attirance profonde est une aventure qui puise à la Source de l'invisible. Ce que le Cœur anime, le corps ne l'abîme pas. Et ça ne s'explique pas. Voilà la Nature en action, l'Instinct d'âme qui nous ouvre la porte vers notre Soi perdu. La Totalité est à portée de main et d’âme, au sein même de cette brutalité alentour.

La transparence, c'est la franchise d'une âme à vif qui prend des coups mais qui ne les rend pas, qui est sûre de la Beauté et de la pertinence de ce chemin de liberté totale en Soi.

 

Si tu m'aimes avec ton âme, mon corps rayonne de désir. Si tu ne m'aimes qu'avec ton corps, mon âme n'est plus envie ... On ne caresse bien la peau qu'en bien frôlant son âme.

 

Nos sens sont loin de n'être que terre a terre. Nous sommes d'une sensualité que notre âme seule remue, de ces émotifs qui connaissent toute l'étendue de leur gamme, et qui ne retiennent de la matière que ce qui vibre en eux.

La vie est un si beau jaillissement spontané, à la portée de notre âme qui s'exprime dans chaque grain de notre peau.

La franche spontanéité du désir des corps, est aussi belle que l'évidence et le choc du coups de foudre des âmes. Ce qui fait mal, ce n'est ni l'un ni l'autre en Soi. Ce qui fait mal c'est le calcul et les pièges de l'Ego, sa prédation de fausses intentions.

Oublie le romantisme des amours qui ne se nourrissent uniquement que des manques et de la satisfaction des besoins exacerbés. Seule la rencontre des plénitudes donne aux plaisirs l'extase qu'ils méritent. La plénitude ne vole personne et révèle toute la richesse de l'Essen-Ciel Sublime depuis Soi, sans artifice ni stratégie de pouvoir.

Les rencontres n'ont d’ailleurs pas vocation à la durée, mais à l'intensité de leur évidence et de leur émotion. Il n'a aucune question à se poser juste à être authentique. Nos en-Vies se rejoignent à l'Épicentre de l'Essentiel.

Il y a toujours un peu de nous ailleurs, mais il y a aussi et surtout beaucoup d'ailleurs en nous, qui nous appelle. Cet ailleurs c’est Maintenant, celui qu’on recouvrait de nos surcouches mentales pour nous donner l’illusion d’être heureux.

 

- Papa c’était quand hier?

- hier, mon fils, c'est un maintenant sur lequel tu n'as plus prise, mais qui t'a fait grandir.

- Et demain?

- Demain c'est un aujourd'hui qui te construit.

 

Se projeter, ce n'est surtout pas se retenir d'être, ni faire dépendre ce présent d'un futur soi, qu'on ne sera d'ailleurs jamais si on l'attend ... Se projeter, c'est rayonner maintenant, avec tout ce que l'on est, quitte à déplaire, sans réfléchir ce qu'on n'est pas!

Ce sont nos certitudes qui assèchent nos terres, nos doutes qui la labourent, les sillons creusés par l'inconfort qui l'aèrent et notre Cœur qui l'irrigue. L'évidence de la récolte suit l'évidence naturelle du semis au rythme de nos saisons.

La seule manière d'échapper à nos souffrances mentales, est de ne plus nous fuir en pensant n'exister que par ou malgré l'absurde. Le Bonheur est en Soi. Il ne dépend de personne ni de rien d’autre que Soi … Nous Sommes le bonheur qui s’ignore. Nous Sommes la Loi qui nous cultive.

 

C’est pas un rapport de bonhommes et de bonnes femmes, le Cœur...

C'est un rapport avec Soi de bonnes Vibes, et de bonheur...

 

Laissez vous couler dans le Plan qui vous précède ou vous succède. Planifier, c’est nager à contre-courant de ce qui Est. Le Plan ne connaît pas les griffes du temps. Se rebeller d'âme contre courant Mental, c'est rétablir le courant Naturel dévié. On est à contre-courant dans ce monde d'illusions. Il suffit se trouver le vrai courant du Tout.

Tout ce que vous direz sera retenu, bien sûr, contre vous et ce que vous ne direz pas sera source de malentendu. Ne laissez pas s'installer le doute en communiquant clairement et moquez vous des jugements. La Dualité a toujours un argument contraire, mais la Foi seule est une certitude qui ne s'explique pas mais qui se transmets, sans emphase!

On n'explique pas la Beauté, elle nous explose au Cœur, on n'explique pas l'Amour, il jaillit de nulle part, on n'explique pas l'essentiel, mais la Sublime Gnose, nous réveille à ce Présent sans cause. Vous en doutez? On ne doute plus, quand on l'a reconnue.

Le secret en Conscience, c'est du Mystère qui se dévoile. Le mystère ne se promeut pas, il inspire, il transforme et il nous rend à l'originalité du Silence qui éclaire. Il y a un fabuleux Mystère en chacun qui ne demande qu'a germer.

Ce qui a vibré dans le Cœur n'en sort jamais. Ce qui a vibré, vibre depuis toujours. Il faut juste en capter les ondes. Nous sommes tous de géniaux morceaux d'étoiles d'en-haut qui nous comportons en vulgaires cailloux de Terre d'en bas.

Ne regarde personne avec tes seuls yeux, ni tes amis ni tes ennemis. Dans un monde si paradoxal, les malheureux cherchent le bonheur et les heureux les envient. Dans un visage il y a 10 % de surface et 90 % d'âme. N'inversez jamais ce dosage. Vous vous confondriez avec un masque qui vous ferait perdre la trace de vous-même.

La Perfection n'est pas de ce monde, mais son Intuition nous rend à son principe et merveilleux espoir. Les métaux qui nous alourdissent sont la chance de l'esprit qui nous allège. Il faut tolérer les marques de nos imperfections, car elles nous fondent dans la liberté de nous retrouver, en Vérité. On ne renaît pas que de ses cendres, on renaît aussi de son Feu. Il faut se croire Vivants, comme des feux que l'Infini embrase.

Le vrai Amour est la Co-création d'une œuvre qui a vocation à sa juste et parfaite Postérité. On pourra mourir, l’œuvre survivra toujours. Change un peu l'angle de ton regard ... ne sois plus cette ombre dans laquelle tu te confonds, mais la Lumière qui en émerge. Mon imperfection est totale, mais ma perfection, absolue. L’œuvre doit transcender l'artiste, pour passer à la postérité et se fondre à l'éternité rendue visible d’où elle émerge. Alors elle trouve des yeux et des Cœurs qui la méritent et qui reconnaissent intimement l'Artiste et la Source qui leur ressemblent.

 

Mon autre est le miroir de qui je suis vraiment.

En fuyant son regard Je perds mon firmament.

 

On ne traverse pas une tempête sans s'ouvrir à ses éclairs qui nous illuminent. Toute tempête, tout orage, est un choc d'air chaud et d'air froid. Il en va de même, lorsque nos ombres habituelles rencontrent de plein fouet notre Lumière renaissante. C'est un espoir pour nous que ce chaos. Reste à savoir à quel air nous nous rallierons.

À l'en-droit des autres que l'on veut laisser libres, ménageons notre peine et le Cœur qu'on leur livre. Il faut savoir entendre l'envers de ce décors, pour y sentir vraiment la Source qui nous anime. On se croise, on s'éloigne, mais l'Amour ne meurt pas.

Ce que je crois se partage dans la reconnaissance mutuelle de ce qui ne s'explique pas. Chaque livre est une rencontre et chaque rencontre est un livre.

Il y a toujours une vision comm-Une qui précède les mots posés. Puis il y a une rencontre. Les mots sont des canaux célestes, des vortex vers ce qu'on mérite de faire émerger du plus profond de notre Conscience : notre flamboyant Foyer. Notre plus grande responsabilité en cette vie sont les mots tendres, car ils sont les bras de notre âme.

D'aussi loin que je puisse me souvenir, mon Cœur ne bat qu'au présent. Il n'y a pas de profil type, juste des originalités en quête d'elles-mêmes. La mesure de ce qu'on n'attend ni qu'on ne désire plus, nous donne la Force d'y croire. Il ne faut croire qu'en l'Instant qu'on accueille, qu'en l'Ici qu'on habite, pleinement.

 

- Papa, un arbre du voyageur voyage t'il ? Avec ses racines ? Avec ses ramures ? Il ne bouge pas pourtant ?

- Oui mon fils. Il voyage, car il s'élève à la verticale, bien plus loin que les jambes des hommes ne peuvent les porter.

 

Voyager c'est être pleinement là ou l'on EST. Ce mouvement vertical nous mène bien plus loin, que la sommes de tous nos éloignement horizontaux de nos vies passées.

Bienheureux en effet, les voyageurs qui ont compris intimement qu'ils pouvaient visiter les régions sublimes de leur Cœur, et qu'ils devaient ainsi plonger profondément en eux-mêmes pour ne plus s'éloigner en ces destinations profanes qui les perdaient.

On apprend à rentrer en Soi, pour ne plus s'éloigner trop de Soi-même, comme nos doctes savants et politiciens intéressés veulent nous faire croire, et nous conditionner à l'accepter si longtemps.

Les mots sont souvent d'affreux perturbateurs qui nous désorientent de l'Originelle Paix Silencieuse, mais les plus sacrés sont aussi des guides qui nous sortent des ténébreux tréfonds mentaux de nos convenances faciles, pour nous reconduire à la Maison du Verbe.

Notre force est notre différence. Notre faiblesse est d'avoir peur de Soi. Seul l'amour de la solitude apaisée, nous mène à la Joie de deux solitudes partagées. Si l'on se ressemble, on se ne se rassemble pas toujours, mais quand on se re-connaît alors, on s'enracine l'un dans l'autre, entre Terre et Ciel démystifiés.

La voûte céleste n'écrase que ceux qui ne sentent plus en eux ses étoiles. La lune n'éclaire que ceux qui osent s'envisager plus vastes, plus hauts, plus légers que le seul poids de la pierre qu'ils traînent.

Celui qui ne sait plus rire est probablement mort depuis trop longtemps.

 

 

Je n'ai pas d'autre vocation en cette vie

Que soutenir les jours à la tombée des nuits.

Oh bien sûr

On meurt cent fois

A toutes nos vies

Même ici bas

On meurt sans foi

Mais on survit

À ces combats

si durs

Qu'on ne voulait pas.

 

 

Légers, comme la respiration calme du monde, passionnés comme l'emballement de sa naturelle insouciance, on a tant rajouté le poids de nos dramaturges Egos que l'on a condamné ce Monde à nos regards lourds, sans Joie et sans Présence, à notre seule image figée. L'Amour est pacifique. Seuls les chemins qui nous en détournent sont belliqueux.

L'intolérance, c'est de la mondanité très satisfaite de ses propres conforts de mœurs et de certitudes d'usages. Encore qu'on doive s'en trouver heureux quand elle ne frôle plus de trop près la barbarie. Il n'est pas un système politique humain, qui garantisse la paix sociale. Ce sont les hommes qui en sont responsables, chacun en Soi, sans peur du gendarme, sans soumission à des normes dictées dont le Cœur n'éprouve, d'abord et de lui-même, la justesse.

De vous à moi, vaut-il mieux continuer à construire des murs entre les hommes en ce monde ou des ponts? Le Maître d’œuvre des premiers est votre Mental, le Maître d'œuvre des seconds, c'est votre seul Cœur. Mes choix me trompent, mais mes choix me fondent.

A vous de choisir...

On est responsables de la vie comme de l'amour que l'on passe sans le retenir ni le reprendre jamais. Voilà la part la plus féminine de l'Homme : son Cœur.

Adoucir la brutalité des hommes et donner la force masculine aux femmes sans leur voler leur sensibilité. Voilà l'équilibre des forces que notre siècle porte : la fusion des opposés, par la révélation intime de l'âme libérée.

Je n'ai pas le cœur bien accroché, je suis bien accroché à mon Cœur. Ça fait toute la différence, non pour supporter le Monde, mais pour l'aimer, malgré tout. On n'a pas d'esprit, on n'a qu'une tête trop chargée, tant qu'on ne franchit pas humblement la porte basse qui mène au Cœur. On ouvre les portes que l'on mérite.

L'Ego se sent supérieur, l'âme se sait Infinie. Si l'amour se contente de baisers et de caresses réconfortantes, il ne connaîtra sans doute que la surface agréable mais toujours éphémère de ses bras, lèvres ou sexes gourmands. Quand la faim ne se remplit que de besoin et de manque, le Cœur jamais ne s'assouvit.

 

****

 

Je voulais encore écrire "je t'aime", et j'ai compris soudain, que les mots succèdent aux connexions des Cœurs et les précédent. Pourquoi les écrire alors, puisque je sais combien tu les ressens, même là-bas, si loin, si proche...

 

Certains "je t'aime" sont si violents parfois,qu'ils en sont suspects. Mais on ne peut leur retirer cette Puissance d'intention, même imparfaite, instable fragile sur la durée, ou paradoxalement douloureuse : l’Amour est là, qui jaillit de nos Cœurs apprentis qui s’illuminent.

On entend souvent que ce n'est pas juste de l'amour qu’il faut donner, mais du temps. J'ai le sentiment au contraire, qu'il faut savoir suspendre le mouvement du temps pour rentrer dans l'action de l'amour.

La grâce, c'est le temps qui ne domine plus son sujet, tant ce dernier redevient libre de ses mouvements spontanés d'éternité joyeuse. Voilà la Liberté ultime des Cœurs ouverts.

 

Ma liberté doit se confondre à la tienne, quitte à laisser les siècles résoudre nos conflits intérieurs, le manque et la rage qui ont détruit nos liens et qu'ils restaurent enfin la Paix à laquelle on aspirait pourtant si fort. L'Amour ne perd jamais son temps.

 

On ne perd pas son temps à aimer. On le perd à conquérir et posséder car alors on n'aime plus que sa propre personne. Il y a des câlins qui n'ont que le goût de soi; les plus tendres ont surtout le goût des autres. La Vie ne se donne pas, elle s'accompagne, mutuellement.

S'aimer n'est pas la fatalité d'un "Toi" commun, ni celle surtout de chaînes mutuelles. Quand on a perçu le parfum Essentiel de l'âme de l'autre, ses effluves nous habitent, à jamais et partout.

 

-Papa, quand un amour naît, doit-il mourir?

- Non mon fils, l' Amour n'a ni fin ni commencement. Il est Substance de tout ce qui parait, dans la profondeur de tout ce que tu Es.

 

La Beauté passe de formes en formes, mais ne meurt jamais. La vraie liberté ne court pas contre elle-même, mais avec elle.

Le vrai miracle n'est pas de marcher sur les eaux ou de voler dans les airs, il est de rejoindre le Ciel en marchant sur la Terre.

En mourant, il faudrait pouvoir ne laisser aucune peine. L'Amour que l'on garde pour Soi seul finit par nous oxyder. Libère-le, rends-le au monde, anime-le par l'exemple d'intentions immortelles,de ton vivant, pour que naisse l'espérance en chacun d'être plus que de passage.

Je ne connais jamais le repos. Le travail c'est la mesure de La Lumière qui bat à notre propre rythme.  La dernière réponse est souvent celle de la première question, et c'est aussi l'ultime, que la Lumière comble. Qui suis-je? Soi!

On en n’ a pas fini de continuer à vivre cette réponse, plutôt qu'à mourir de nos questions sans certitudes.

Que la Lumière "SOI" ...

Deviens ce que tu es lorsque tu en auras pris conscience.

Pindare.

Frappe-toi le cœur, c'est là qu'est le génie.

Alfred De Musset.

Le faux, qui régit ce monde et que nous percevons comme vrai, doit être démasqué.

P.K Dick.

On compare parfois la cruauté de l'homme à celle des fauves, c'est faire injure à ces derniers.

Dostoïevski.

Ce que j'ai aimé un jour
Que je l'aie gardé ou non
Je l'aimerai toujours.

André Breton.

Je souhaite d'être lu par les personnes qui restent des enfants coûte que coûte. Je les découvre entre mille. Un regard qui donne sur la féerie primitive protège mieux que tous les soins de beauté, tous les régimes, contre les insultes de l'âge.

Jean Cocteau.

Il existe de plus nobles ambitions que de simplement s'élever dans le monde. C'est de se baisser et de hisser l'humanité un peu plus haut.

Henry van Dyke.

On ne s'égare point parce qu'on ne sait pas, mais on s'égare parce qu'on croit savoir.

Jean-Jacques Rousseau.

C’est pendant nos moments les plus sombres que nous devons nous concentrer pour voir la lumière.

Aristote Onassis.

Dans cette obscurité en lui, prenait naissance cette ardeur affamée, cette folie de vivre qui l'avait toujours habité et même aujourd'hui gardait son être intact.

Albert Camus.

Il y a assez de lumière pour ceux qui ne désirent que de voir et assez d'obscurité pour ceux qui ont une disposition contraire.

Blaise Pascal.

Tu ne seras jamais heureuse si tu cherches continuellement de quoi est fait le bonheur. Tu ne vivras jamais si tu cherches toujours un sens à la vie.

Albert Camus.

Il y a un genre en toutes choses ; tout à ses Principes Masculin et Féminin ; le Genre se manifeste sur tous les plans.

Le Kybalion.

S’il est une chose qu'on puisse désirer toujours et obtenir quelquefois, c'est la tendresse.

Albert Camus.

L'amour nous lie sans nous attacher.L'amour nous engage sans nous enfermer.L'amour nous fait pleurer sans refermer notre cœur. L'amour nous fait désirer sans posséder. L'amour nous enchaîne et nous rend libre.

Frédéric Lenoir.

Une pensée m'est venue aujourd'hui - si évidente ... : il n'y a rien, rien qui puisse m'empêcher de faire quoi que ce soit, à part moi.

— Renaître : Journaux et carnets (1947-1963) de Susan Sontag.

Il n'y a rien de noble à être supérieur à ses semblables. La vraie noblesse consiste à être supérieur à celui qu'on était avant.

Ernest Hemingway.

Rien ne disparaît avant de nous avoir enseigné ce que l'on doit apprendre. Parfois, il est nécessaire de se reposer, au lieu d'abandonner. C'est alors que tout s'éclaire, comme à la lumière d'une lanterne.

Jordan Ray.

Notre âme en évolution ne demande que sérénité. Assieds-toi près de ton coeur, écoute le silence, tu y entendras tes guides en toute intimité ».

Sagesse Amérindienne.

L'humanité souffre d'une immense carence introspective.

Carl Gustav Jung.