Le Monde n’est-il qu'un cri de douleur dans un univers de Silence et de Paix ?
Le Mensonge domine le Monde. On n'est rien d’autre que la mort ou la Vie qu'on s'autorise. Pour beaucoup, la Vie s'apparente à des parenthèses de distractions et de loisirs entre deux ombres, sans Joie durable. Doit-on tous accepter derrière le mensonge des autres, de disparaître et de nous soumettre aux grandes illusions qui attisent nos souffrances et nous égarent, sans jamais être comblés, comme si vivre était une fatalité de douleurs et de souffrances absurdes, sans fin, sans espérance? Les Hommes ont appris laborieusement à se protéger contre les éléments extérieurs, mais ils ont encore un mal fou à se protéger contre eux-mêmes.
N’y a t-il pas une alternative plus réjouissante, que le combat quotidien et ses agitations frénétiques?
Nous, passeurs d’espérance et de Lumière, nous le pensons d’Intuition et d’Instinct : Si la Nature n'est pas perçue dans son simple appareil, elle dis-paraît, mais si nous la re-connaissons dans son Sublime, elle se re-dévoile, à la mesure du seul regard juste et Parfait de notre Cœur. Tout l'Univers s'ordonne dans la simplicité.
Dans un monde où tout fout le camp, ça tient du miracle ou de la magie de rester bien ancré en soi-même. C'est pourtant là qu'on accède au fondement de tout ce qui reste.
Il y a de la féerie dans tout Œil que le Cœur guide. Il n'est pas utile de (se) fuir pour bien (se) vivre. En revanche, il est nécessaire de ne plus accepter d'être tenu à l'écart de nous-même.
Ils ne se projettent pas dans l'avenir des grands, ils vivent l'Instant pur des petits. Ne les en découragez pas.
Bien sûr, le Monde nous vole notre innocence dès l’enfance, en nous fermant les yeux, progressivement, en nous parant des habits du grand mensonge. Cependant, les apparences et les habitudes, qui nous cantonnent derrière des murs "familiers" - qui même, nous y subordonnent - ne sont pas seulement fatales elles sont transfigurables. On n'avance pas, on se déploie. On avance habillé dans la Vie, mais on y grandit nu.
Quand le risque de perdre est plus grand que celui de gagner, le Cœur nous pousse pourtant toujours à renoncer, a cesser toute résistance et sur le champ. C'est l’Intuition qui défie les limites du possible. Celui qui l'écoute ne se met plus jamais en danger. Encore faut-il l'entendre.
L'autorégulation, est une Loi karmique essentielle. La justice des hommes veut nous protéger des autres, la justice sacrée nous protège d'abord de nous-même par strates. C'est pourquoi l'exacerbation, de vengeance ou de colère, est toujours contre productive. Le seul avantage de la colère, est qu’elle fait sortir de nous tout ce qui nous empoisonne. Le tout sans doute, est de nous autoriser à ne plus laisser libre accès au poison des autres.
Ce monde m'effraie
Car il est L'antithèse de la Paix
Ce monde te plait
Car il crée
D'illusoires monnaies
Ce monde imparfait
Te distrait
De ses si faux attraits
Il nous ment
Et pourtant
On le transmet
A nos enfants
Irresponsable-ment!
Alors
Il faut cent fois
Clore
pour éclore
Ouvrir pour refermer derrière soi
Ce qui nous nuit
Cent fois se retourner vers notre propre jour
Mais sans plus d'effort
Juste car l'En-Vie
Et l'éternel Amour
Sera plus fort
Que notre mort.
- « Qui êtes vous? » À cette question combien répondent autrement que par leur seul état-civil?
Dans la vie, il faut toujours te poser cette question: "suis-je bien sûr de n'être pas un(e) autre.?" Si la réponse est oui, vire cette personne et cherche toi!
On vit dans un monde qui promeut la violence et brutalité. Les poètes ne font pas recette, car la Lumière est la seule richesse qui ne rapporte rien aux marchands d'ombres. La vie est si riche pourtant. Pourquoi se sent-on si pauvres parfois? sinon parce qu'on s'est vidé d'elle en la remplissant de vanités sans Beauté. Les vrais suicides, les plus courants aussi, ne sont pas physiques. Ils sont mentaux. Il n'y a pas de mort plus certaine, que celle que l'on se donne, à ne plus vouloir se vivre au Présent de Soi, et en vivant dans le passé des autres. Il faut avoir cheminé longtemps dans la médiocrité des Hommes, pour s'en libérer rapidement. Exit les souvenirs qui font Mal dans la Présence d’un Soi qui EST la Paix.
Les souvenirs sont des désirs sans corps, dont la frustration naît de notre simple absence à la Vie Présente. Vivre, c’est ne pas laisser le passé prendre le pas sur la Vie elle-même. Chaque seconde de Vie est une chance d’y sourire. Il suffit de presque rien pour réécrire une histoire interrompue: quelques pages blanches encore libres, derrière celles griffonnées et froissées où l'on a pas pu écrire le mot fin. Nous nous renforçons de notre passé et nous nourrissons notre avenir, du Présent qui seul nous anime! Mais le printemps comme l'été, savent ce qu'ils doivent chacun à l'automne qui les a débarrassés de leurs vieilles parures et à l'hiver qui les a renforcés.
Je crois dans les erreurs et les mensonges éprouvés, qui ouvrent des chemins vers notre Vérité, et qui sont la somme de notre Ici-et-Maintenant ! Il ne s’agit plus de conquérir une vérité toute faite, toute extérieure à nous-même, mais de sentir au contraire tout l’infini en Soi, son Mouvement et la Présence irrémédiable de l'Instant Sacré sur nos sentiers d'ombres. Partout le diable de l'obscurité est en veille. Ne vous endormez pas. Le Sacré ne se mesure pas ; Nous n'en sommes que les dépositaires souvent indignes, mais tout fait partie du Plan. J'aime les esprits brillants, moins en ce qu'ils éblouissent qu'en ce qu'ils veille et éclairent en ne se laissant plus cloisonner, qui rayonnent d'eux-mêmes et au plus loin, tout simplement. Sentir plutôt que penser, Aimer plutôt qu'envier, Vivre plutôt qu'exister. Le Sacré ne se mesure pas : il se reconnaît et se déploie à l'infini, dans nos actions éprouvées.
Il y a deux façons de passer le temps! S'agiter ou s'animer.
Ne plus chercher à sauter les obstacles en Soi nous éloigne, mais les franchir vers l’intérieur, nous rapproche. Ce sont les murs autour de notre Cœur, qu’on oublie de passer depuis l’extérieur où l’on a été projeté. Il suffirait de presque rien, pour comprendre que la Vie est à l’intérieur, toute la Vie et rien que la Vie, sans plus aucun artifice ni armure ni habillage superflus. Alors on retrouve son âme d’enfant, son mouvement originel et jaillissant, c’est parce qu’on a consenti à la fuir, qu’on a perdu sa Lumière.
Ce ne sont pas les enfants qui sont débiles, ce sont les parents qui leurs servent de modèles, et qui les ont fait sortir d'eux-mêmes!
Il vient toujours un temps où l'on sent, qu'il faut suivre notre enfant intérieur, dans les profondeurs du Cœur où il abonde, sans quoi on reste attaché à son souvenir dans le tracé de nos rides froides et absurdes. Le sourire de notre enfant intérieur, est un clin d’œil de l’Âme et au temps qui passe. Il ne s'agit pas de nostalgie ici: il s'agit d’Être cet enfant, de le ré accueillir, de l'habiter. L'enfance, c'est l'âme à l'état Brut et Permanent, d'avant la chute, par delà le temps, par delà l'espace, qui ne sont qu'éphémères.
Un "adulte", pétris d'habitudes, ne mérite pas l'enfance dont il s'est éloigne, ni les "petits" qu'il diminue en voulant les "élever" vers son monde de "grands", tant qu'il n'a pas pris conscience de cette impérieuse nécessité. Car si l'âme de l’Homme ne relaie pas son cerveau « reptilien », l'Humanité continuera à engendrer ses propres monstres, que l’intelligence nourrira. On perd de Vue notre innocente Nature. Le Mental nous fait adorer la surface idolâtre de l’accessoire qui nous perd ! C'est à nous qu'il revient de révolutionner le système Mental, en nous autorisant à restaurer notre Origine, dès ici, dès maintenant et dans la nasse.
Et si l’on ne partait plus à la conquête d'un idéal imprécis et lointain? Et si face à l'Utopie d'une Vérité, on apprenait au contraire à "revenir" et rentrer bien au chaud en Soi-même, en partageant son nid douillet, en savourant l'instant des "Je" dans le "Nous" intime.
On a tous intérêt à "bien s'aimer" et au plus vite, dans ce dédale de définitions et de limitations angoissantes, car nous sommes la seule personne que nous devrons supporter toute notre vie.
Nos peurs sont mentales, elles existent, parce que ne sommes plus présents à nous-mêmes, quand nous les laissons occulter nos rayons. La peur, c’est le chemin de l’égarement. Cette part d'Ego que le Mental déploie contre nous-même et qui fait naître trop de larmes et trop de peurs, qui peut encore l'aimer et s'y accrocher? Concéderiez-vous à vous agripper à une caisse de plomb qui vous plonge dans des abysses? Non? Alors libérez-vous, maintenant.
Si l'Art n'existait pas, nos prisons seraient sans portes ni fenêtres. Nous sommes les artistes de notre Liberté fondamentale.
Nous retrouver, dissipe immédiatement tout ce qui nous empoisonnait sur le sentier. On ne perd plus rien. On s’est débarrassé de ce qui générait les émotions négatives.
Si je me perds, je te perds. Si je te perds, je me perds. On perd l'Amour, sans Cœur Boussole. L'Amour est là Pourtant, toujours. Nous le voilons, nous le dévoilons, le Sol "boue" dans la pénombre du vide, on ne vit que de nos yeux fermés et de nos mirages mortels. Si puissant et fragile à la fois, notre Cœur restera pourtant notre seul phare.
Ne dépendre de personne, mais se sentir lié à jamais avec tous, sans frontière de temps ni d'espace. Voilà sans doute le secret le plus enfoui des âmes, leur Nature même, mais le chemin aussi le mieux gardé par notre Mental, qui nous en détourne inlassablement, systématiquement.
Le bordel c'est l'ombre, qui nous cache la Vraie Lumière de la Vie. Alors, la mort semble un point de conclusion, là où il n'est pourtant qu'un point lumineux parmi tant d'autres. Ma tête est si loin de mon Cœur, mais mon Cœur est si proche des étoiles éternelles et nous y guide, inlassablement. Je sais que de simples yeux, allégés et apurés, peuvent nous y conduire, bien plus loin que n'importe quelle fusée. Je n'oublie pas d’où je viens et je sais où je vais: nulle part ailleurs qu'en moi-même, même si tout semble excentré et vain. L'Espérance, c'est ce qui murmure et nous console silencieusement, quand nous pleurons bruyamment. Ces étoiles ne sont pas au dessus de ma tête. Les plus brillantes ne sont pas lointaine. Elles reposent à proximité dans ce Cœur patient dont je m'étais éloigné si longtemps.
Bien sûr que nous ne sommes que des silhouettes dans la pénombre. Encore faut-il bien s'en détacher, pour ne plus s'y confondre.
Je n'aime pas l'expression "le poids des mots", car les mots doivent être tout sauf des poids morts, tout sauf des lourdeurs ajoutées à nos attractions terrestres déjà si pesantes. Un mot c'est la légèreté même, un ascenseur vers le Ciel, un messager de l'Essentiel.
L’Essence qui conduit aux mots, n’est pas vaine, parce qu'ils ne seraient pas sacrés ; les mots sont vains, parce que ceux qui ne les entendent pas refusent le Sacré dans leur propre Cœur. L'illusion profane ne contraint jamais de l'extérieur, elle n'est qu'un manque de Conscience et de clarté intérieures, de gestes tendres, de mots profonds ... La Vie est un beau Présent : Un cadeau .... et nous dedans. Et soudain, on rencontre une âme, dans le parfum des pages tournées du grand livre de la Vie : la sienne ! Un livre ne se lit pas, non, un livre ça s'effleure avec les yeux, ça s'écoute et se respire, à Cœur ouvert.
Alors le mot, redevient de l'Amour pur. Il n'était accessoire que quand ils perdait son Origine et sa profondeur. Apprenez le langage du Cœur. Le Verbe nous guide paisiblement vers la Source de notre Éternité et dans la profondeur du vrai Silence, on rend l'invisible palpable ; on se libère des ombres.
Connaissez-vous d'ailleurs la définition académique de l'ombre? "Zone sombre créée par un corps opaque qui intercepte les rayons lumineux ;" La Lumière est Essence, l'ombre n'est que son retardateur...et son révélateur. Dans l'ombre portée nous sommes mortels. À la Source, nous allumons la Vie Éternelle.
Nous sommes des lumières dans la nuit où le regard se perd, ou bien d'où il illumine. Nous sommes nés dans le grand Mensonge, mais notre Cœur est Plein de vérités. On nous enseigne la possession, notre âme est bouillonnante de Liberté. Qui peut nous libérer de l'illusion grossière, à part nous-même? L'Homme sacré : c'est l'Ego qui s'anime de l’Éternité recouvrée.
L'Amour n'est pas qu'un mot. L’illusion, n’est pas qu’un Mal. La Puissance des mots ne sauvera pas le monde. Elle est l'Origine du Monde et la fin d'un autre. On ne peut pas se perdre dans la Vérité. Le mensonge seul, est un labyrinthe.
Si tu comptes sur les jours tendres
Sans embrayer leurs secondes
Tu passeras tes heures sombres
À ne vivre que pour attendre.
Notre Cœur est un temple de sérénité
Libres d'ouvrir sa porte ou d'en perdre la clé
Nous sommes seuls gardiens de l'Hospitalité
Pour soi-même ou pour nos invités.
Pour se connecter vraiment, il faut cesser de croire dans ces milliards d'informations croisées et démesurées, fuir les bonjours illusoires de vos bourreaux de demain et se réjouir de l'isolement en fermant les yeux ; sentir enfin couler en Soi, le vrai haut débit de la Vie.
On ne devrait jamais avoir à douter de l'authenticité d'un regard. PERCER et VOIR c'est enfin Vivre. Quand on parle avec son Cœur, on ne ment jamais. Percevoir, est le début de l'éveil au travers les ombres, et bientôt malgré elles.
En Amour, on n'y arrive pas toujours, mais il faut essayer sans cesse. Le temps seul conforte la confiance ou révèle le mensonge. Il est dans la nature des choses d'accorder seul son instrument. Il est nécessaire de chercher l'Harmonie avec l'autre et de persévérer, sans plus admettre aucune dissonance volontaire, aucune ombre tenace ni occultante.
Allez viens! On ira où l'on pourra.
Il y a toujours un truc de bien qui t'attend dans la vie,
vachement plus fun que tous les trucs qui t'ont fait du mal
et auxquels tu t'attendais pas non plus
Il n’y a pas deux façons d'aimer, il n'y en a qu'une : imparfaitement, mais avec la meilleure des intentions.
L'Essentiel, c'est le Cœur! Tout le reste on s'en fout. On ne survivra pas, à cette expérience, car nous changeons en permanence d'accessoires en accessoires. Alors vivons beaucoup l’Instant, qui se fout des changements. L’illusion est l’exception de Soi. L’Amour en est le Principe. L’Origine et la Fin, entre les ombres, la Lumière ne sait qu’attendre.L'Essen-Ciel donne du Sens à l'accessoire.Le matériel est animé. Il n'est plus un corps mort, il est un corps Sacré qui n'ignore plus son Origine ni sa Fin, qui se confondent dans l'Instant Libre.
Faire c'est donner du Mouvement à l’Être. Sa raison d’Être, sans plus d'égarement, de distinction, de division ou de séparation. Faire? c'est de l'âme en terre légère.
Faire l'Amour? c'est quand ton Cœur habite celui de l'autre avec tant d'intensité, que ton corps tout entier cherche à l'y rejoindre. J'ai effleuré mille visages, mais n'ai franchi que peu de Cœurs. La seule vérité des vrais sentiments, est aussi belle que la caresse du vent indomptable sur les herbes sauvages. Elle est fulgurance de l'Instant qui ne calcule rien et Vit!
Demain, on sera un jour plus jeune.
Ce serait si simple, si tout était facile. La Vie est pourtant le plus formidable des risques à vieillir. Il faut apprendre autant de ses joies que de ses peines. L'état de félicité n'existe pas. Il est nécessairement ponctué du flux et du reflux des autres et de Soi. La dualité des imperfections est telle, qu'on doive apprendre surtout d'elles à ne point les ré-générer dans le cercle vicieux de l’absurde.
Le mensonge, quoique très répandu, n'est que l'exception au principe de la Vérité. Il faut garder l'espérance du Cœur ouvert et le sentir battre spontanément vers ce qui nous rassemble, plutôt que vers ce qui nécessairement nous sépare et meurt. Tout mensonge, bien qu'accessoire, devient obsédant et forme une réalité palpable, qu'on en soit victime ou bourreau; qu'on l'abreuve ou qu'on le condamne ; on est tous coupables de fermer son cœur et de reproduire à l'infini ce cercle vicieux qui nous détruit et nous rend vieux et cons!
Si tu sais voir la Beauté au milieu de la laideur des Hommes, tu as résolu l'Équation de la Vie.
La laideur est un état d'esprit, la Beauté un état d'âme. Derrière nos écrans de fumées noires, la Lumière nous attend. Ce n’est pas à nous de l’attendre, elle ne viendra pas. Nous sommes condamnés à la trouver nous-même. La Beauté habite l'inattendu. Le Bonheur ne s’attend pas, il est un déploiement de Soi, de notre plus authentique Nature que nos vieux masques recouvrent. Le comprendrez-vous ?
Sentir, c'est entendre. Entendrez-vous dans cette Joie qui vous saisit, dans l’amour qui vous fait trembler, toute l’intensité de l’Instant éternel ? Quand on habite vraiment l'instant, le temps se suspend. On ne sera peut-être jamais vraiment heureux, mais qu'importe tant qu'on éprouve souvent d'intenses moments de joies. La Joie, c’est de l’Amour rendu sensible, c’est notre Souffle, notre respiration, notre anti-matière, notre Présence Essentielle occultée par tant de superficialité matérielle. Les vrais bonheurs se fixent dans la joie de l'instant simple. Plus aucun mur ne résiste à la Puissance de la Joie intérieure et de l'enfant qui s'y déploie en Lumière.
La joie est l'émotion de l'alignement le plus authentique avec Soi. C'est une fulgurance de l'âme, l'expression la plus vraie d'un Cœur en éveil sur le rayon des sens.
La vraie Beauté n'a besoin d'aucun retour sur elle-même. Elle est un rayon généreux qui part d'un Centre vers le Cœur de celui qui la reçoit. Nous sommes Un, au milieu de la Dualité illusoire, solution de chair et d'âme. La Vérité sous-tend tout conflit et le résout toujours, quelle que soit l'épreuve. Être Soi, c'est répondre Présent en confiance aux grands défis de la vie. Les années passent trop vite, mais rien en Soi ne meurt de ce qu'on a su aimer.
La beauté de l'inattendu nous force à recouvrer la spontanéité de la Vie, exit ses calculs et habitudes mentaux, qui suspendent la Joie d'être ce que nous Sommes : mouvements d'un Présent animé par une Nature riche et bienveillante. Nous sommes tous de géniaux morceaux d'étoiles d'en haut, qui nous comportons en vulgaires cailloux de Terre d'en bas.
Il faudra t'y faire. Si tout avait été plus simple, nous ne serions jamais si riches de nous-mêmes.
La Beauté frappe à la fenêtre. Quand allez-vous lui ouvrir?
Dès lors qu'on discrimine sans effort l'accessoire de l'Essentiel, la Vie déploie alors tout son Potentiel Sacré. Nous ne sommes pas des ombres de passage, mais des âmes lumineuses riveraines de cieux oubliés.
La lumière triomphe toujours des ténébreuses illusions, mais jamais sans nous. En ne fuyant plus l'évidence de nos intuitions immatérielles, le monde prend tout son sens, exit l'absurde de nos certitudes matérielles. Je crois dans la Magie du Monde, car je crois dans celle de mon âme. Vous pourrez le détruire, il prendra refuge en moi.
Promener son Cœur au milieu d'un sombre champ de ruines pour espérer y faire pousser des fleurs multicolores, c'est ainsi qu'il faut vivre pour ne pas s'affadir soi-même, sous l'assaut des jours si ternes. Dis-toi que si ça monte, ça va redescendre immédiatement de l'autre côté. Il y a une Loi incontournable : on ne s’éloigne généralement pas longtemps de sa propre Nature, sauf à en mourir rapidement. Il est un principe que ce qui meurt est invité à continuer ce qu’il a entamé, et à prendre appui sur sa Conscience pour comprendre ce qu’il EST et ce que sont les autres et ce Monde. Ce risque n'était pas absurde. Il avait été l'étape nécessaire, quoique douloureuse, vers un pan entier de moi-même. Ouvrez grands vos volets, la vraie Lumière est celle que vous libérerez, de l'intérieur, non celle qu'on vous impose et qui vous éblouit. Cette Lumière c'est Vous en Puissance.
On ne sauvera pas tout le monde, mais tous auront le choix.
Personne sur ce chemin n'a vécu sans souffrance. Et pourtant, tous ont trouvé la force de sourire. Je déteste les retranchements de mon âme. Je l'aime libre, consciente et sans entrave - c'est alors que je suis heureux exposé aux méchants, mais quasi invulnérable - mais on n'apprend pas à être Soi ni a se tenir droit, sans effort ni sans douleur, ni sans échec douloureux. On se libère de tout ce qu’on n'est pas, on arrache ses masques. Cet apprentissage-là est un chemin rempli d'embûches en renoncements, sacrifices et douleurs éphémères, qui sont un passage obligé pour libérer notre Joie.
Je ne suis pas sûr encore de réussir là ou les autres ont échoué, mais j'ai assez d'Amour pour échouer et réussir à me relever.
Le monde parait si sombre qu'on finit par se cogner à nos propres murs. Alors, on a le choix : les escalader et renaître en Lumière, ou s'habituer aux douloureux, aveugles et mortels repères de nos fosses communes.
C'est bien le malheur de l'Homme : vouloir être heureux partout, où il n'est pas. On ne s'égare jamais longtemps et il le faut, pour que jaillissent enfin nos évidences inconditionnelles qui ne sont ni ici, ni ailleurs qu'en ce Soi retrouvé, intemporel et sans forme palpable.
Cette Lumière ne se voit pas, ne s'entend pas. Elle nous irradie, elle nous allume de l'intérieur. On n'est plus jamais l'ombre de nous-même, quand on se révèle en illuminations.
La Nature même de l'Amour Parfait, est de s'éprouver en s'incarnant, dans l'imperfection concrète du "Faire" et dans la persévérance quotidienne de "l'Être".
On laisse toujours l'orgueil dans ses recoins les plus sombres, quand on s'aime, sinon on s'étouffe de l'étreinte de l'Ego. Non seulement un être vivant n'a pas vocation à la brutalité, mais le caractère brutal est par nature éphémère, en ce qu'il a toujours vocation à la délicatesse Sacrée. La délicatesse ne s'apprend pas. Elle est une qualité de l'âme, libérée des violences de l'abrutissant Ego .
Ce sont bien nos sens, l’étendue de nos formes, l’extériorité du Monde, notre identification à la séparation qui sont la première de nos marches, celle qui nous élève. Ne méprise pas les sens, ne méprise pas la matière, ne méprise même pas le grand Mensonge de la Vie, ni les petits des hommes, ils sont l’espace et le temps de l’Illusion toute provisoire. Celle qui doit s’éclipser dans un grand Élan de Soi, à la Lumière oubliée de la Source jaillissante.
Une émotion ne se contrôle pas de l'extérieur, elle se gère et se vit pleinement de l'intérieur. La vie est faite d'émotions qui ne nous veulent que du bien. Contrôler la vie, c'est mourir avant l'heure.
Ce mélange de plaisirs et de douleurs, de soumission et de Force, de lâcher-prises et de tensions, voila le désir, voilà l'en-Vie en animations, de corps et d'esprit.
J'ai appris une chose sur ce bout de terre glaciale. C'est notre âme qui seule saura la réchauffer, car c'est notre Mental collectif qui l'a refroidit.
Tout le monde sait se parer des habits de l'innocence, apparence vêtue et sourires séducteurs, mais si peu s'habitent vraiment en élégance et en constance, en vraie gentillesse de Cœur. Deux grands sourires qui se croisent et qui se touchent, c'est cela l'Amour. Tout le reste est accessoire. La complicité? c'est quand deux sourires se rejoignent. Un ami, ça efface tes douleurs en les écoutant ou en te faisant rire.
Habiter la Vie, c'est s'adapter en permanence à ses imperfections pour se donner la chance de jouir à fond de ses cadeaux Sublimes. Notre seul devoir est d'exister et de se sentir vivant le plus fréquemment possible. On fera les comptes après. Tout passera si vite de toute façon.
Le mensonge ne vit qu'habillé. Il faut chercher ce qu’il cache sous ses vêtements opaques. Il faut oser la Nudité Parfaite, qui libère la substance de sa glaise. Sois fier de ta nudité. C'est ta seule authenticité. Mais protège là des vulgaires, comme on protège les choses précieuses, délicates et fragiles.
Tu sais l’Élégance, c'est se foutre royalement du regard des autres malgré eux et pour soi, et jouir,- sans retenue ni orgueil - de la vie, dans les limites que la Nature nous doit.
Par-delà ce que je crois être, et au milieu de mes ombres, je trouverai qui je suis, à la Lumière de moi-même. Cette substance mystérieuse qu'est la Lumière, est si indéfinissable et si intimement liée à notre propre sursaut de Conscience, qu'on ne peut convaincre les autres de sa Présence et de son Rayonnement, s'ils n'ont pas su ouvrir d'abord les fenêtres de leur Cœur.
Les lignes de fuite disent bien à quel point la seule vraie et juste perspective est ancrée en Soi-même. Rien hors de nous ne nous éloigne davantage que la fuite qui désire ailleurs ce qui est déjà là.
Fusionner ses atomes
En un unique arôme
Mélange sensuel
De poids et d'ailes.
De cœurs encore
De corps en Chœurs
D'harmonie sublime et de douces chaleurs
L'Amour ne connaît que la petite mort.
LOVE et VOLE : Y a t'il anagramme plus subtil?
Les vraies ailes ne poussent pas dans le dos, mais sur le Cœur, et on aime de tout son corps, quand on se touche de toute son âme. L'insouciance, est la seule liberté instinctive qui nous protège du carcan des autres. On n'est pas irresponsable à s’en vouloir libre. L'insouciance, est un paradis retrouvé.
Animale et alors? Aucune Rose n'a jamais trahi un papillon. Un papillon ne dit jamais « je t'aime » à la fleur. Il le danse, il le vole et il suspend le poids du jour, sans regret ni angoisse. Une fleur a t'elle parfois le blues Ou voit-elle toujours la vie en rose? Chaque rose est un don spontané et généreux de la nature qui ne compte pas. Les animaux eux-mêmes, ne sont jamais dépressifs. Ah si : en côtoyant les Hommes, captifs de leurs "contre-nature" malsaine. Comme l’écrivait d’ailleurs si poétiquement Hermann Hesse, « Les animaux sont plus réels que les humains. Ils ne veulent pas vous flatter, ils ne veulent pas vous impressionner. Rien de clinquant. Ce qu'ils sont, tels et sont, comme des pierres et des fleurs ou comme des étoiles dans le ciel. »
Certains animaux sont bien mal honorés par les hommes, qui ont affublé certains de leurs masques le sobriquet de "loups", alors qu'il n'y a pas plus droit et franc qu'un tel animal, qui n'a de tort que de s'attaquer au bétail d'un vrai prédateur masqué!
Dans un je "t'aime" Il n'y a ni "trop" ni "pas assez". Le paradis? Ce sont des je "t'aime" mutuels à l'infini, qui ne souffriront plus. On n'aime pas malgré soi ; On n'aime pas malgré l'autre. On aime depuis Soi, éclairé et confiant, libre et souriant, en un autre nous-même, spontanément, sans orgueil ni calcul.
- Tu deviens quoi? Avez-vous remarqué combien nous fuyons le présent, pour nous focaliser si artificiellement dans l'art de disparaitre en passés-obsessions ou projets-infondés? Croyez- vous que ces 2 papillons qui se coursent s'interpellent ainsi? - Tu deviens quoi?
Le matin au lever, je ne me pose plus la question de savoir comment se passera ma journée. je profite de l'instant, en prenant bien soin de ne pas me précipiter dans mon impatience ou celle des autres. Et tant pis si mon rythme leur déplaît, il est mon évidence.
Je veux du démodé, du politiquement incorrect, de la folie démesurée, des marges élargies et des révoltes intérieures, partout où le monde pose des limites mentales à ma liberté absolue de sourire et d’aimer.
C'est le propre de ce monde le rapport à qui pèse, mais c’est notre nature même, de nous en alléger. Celui qui sait dire non, sait dire oui à lui-même.
L'Homme n'a pas deux visages pourtant. Non! Il est juste habitué au pire reflet de Soi-même. Il n'existe pas deux façons d’être Soi, sauf duplicité. La plus grande des misères n'est pas autour de nous, elle est en nous et c'est pourquoi il est si difficile de la débusquer pour la combattre.
Quelle belle aventure que la spontanéité, qui ne fait pas du jugement ou de la stratégie ses seules armes fourbies. Le Cœur et le désir alignés, font la pureté des moments désarmés et si le bonheur est fragile, il est à portée de peau sensible. L'Innocence, c'est de l'Amour si spontané, que rien ne peut le rendre coupable.
Les malentendus faussent tout rapport aux choses et aux personnes. Ce n'est pas simplement un devoir de les dissiper, c'est une évidence absolue de refuser la Tyrannie et la domination de l'apparence pour s'en rendre libre, en privilégiant la transparence à l'opacité. L'Amour est dans notre regard, à condition que personne ne nous l'y vole. Or, c’est bien ce que nous subissons depuis notre plus jeune enfance. On nous vole notre Innocence.
Les reliefs de l'apparence et la masse qu'ils forment, ne révèlent plus – par eux-mêmes – la profondeur infinie de notre âme, cette Présence jaillissante et invisible qui nous touche pourtant et que seul notre Cœur perçoit, voilà le charme du Sacré.
Si tu ne crois pas aux connexions, alors j'ai mal pour toi. Tu ne croiras donc jamais qu'en ta propre chimie et qu'en ton seul Ego. C’est de cette maladie que l'on meurt depuis toujours.
Je ne suis pas grand-chose, mais j'ai acquis la certitude que l'infinitésimal contenait si bien tout l'Infini en lui.
Le rêve n'est pas un luxe, c'est le cri même de notre Cœur qui se rebelle. Mais, crois en tes rêves. Pas en ceux des autres. On s'accroche trop souvent à un rêve de puissance, comme à une bouée de secours, qui dérive et se dégonfle. On se réveille soudain, perdu en mer, seul et épuisé. On s’est trompé de priorité.
La vocation de toute personne en ce monde est bien de pouvoir se reposer dans les bras d'un être cher, sans crainte d'être une proie à détruire. Il faut croire en ce potentiel de divinité qui nous pousse à aimer, plutôt qu'à chasser et posséder et donc à être chassé et possédé.
Elle n'a pas des mains de pianistes non, mais des notes de musique au bout de chaque doigt.
Comment continuer à croire en l'amour, quand l'amour vous a blessé? Nous avons tous fait la douloureuse expérience des faux semblants, des doutes, des défiances et pourtant. Quelque chose de plus grand nous pousse à considérer l'amour sous un angle moins sophistiqué.
Il vient un moment où la Présence n'est plus simplement qu'un besoin physique. L'Amour se manifeste et se ressent dans le Percevoir qui est bien plus fort que l'apparence. Le désespoir des séparations des pas fatal. Il guérit à la Conscience que rien en ce monde n'a de fin, à la Lumière du Cœur. Seules les limites auxquelles on croit nous enferment.
Des amours perdues, il nous ne nous restera jamais qu'une sensation d'égarement et un vide, que nul ne pourra jamais combler. Chaque rencontre ratée a sa propre case d'espace béant, qu'il faut oser et savoir fermer. Combien de mains fantômes hantent nos solitudes? Ces doigts frôlés ou espérés, qui nous ont touché si fort un jour, de si près ou de si loin, mais qui se sont perdues au fond mortel d'un passé sans lendemains. Il est un drame absolu qui hante les sillons de ces mains qui, s'étant pourtant serrées si fort, n'ont pu retenir - pour avenir - que le seul parfum amer de la nostalgie, de la fatalité ou l'incompréhension. Les mains s'animent, à la mesure de l'âme qu'elles prolongent. Elles se perdent, si les âmes se perdent.
Une main juste ne vole celle de personne
elle est juste une main qui donne.
Et si nous incarnions le rêve, comme la prise accumule l'électricité invisible. Nos mains sont de si bons conducteurs d'énergie Intime et malheur à celui qui les blesse. Il est mortel.
Sauras-tu m'aimer assez, pour ne pas: -Faire mon malheur au prétexte de ton bonheur? -Me faire l'amour pour ton seul plaisir? -Me promettre le Ciel, en m'enterrant dans ton Cœur? -Me mettre dans tes fers, en cerclant mon doigt d'Or? -Faire de ma Paix prétexte à ton enfer?
Il voulait l'oublier, mais par-dessus tout, il espérait encore qu'elle se souvienne, des bises anciennes que la tempête a emporté. On dessine le monde que l'on ressent. Les artistes maudits ou ceux du bonheur, travaillent avec les mêmes pinceaux. Seules les couleurs et les formes du génie changent, en projetant une même substance, alourdie ou libérée qui font sens. La Vie est bien plus simple, qu'on l'imagine. Sa vérité, c'est surtout l'âme qui la dessine.
Il ne se passait pas une journée sans que son Cœur ne lui murmure un secret de l'éternité. Alors elle fermait les yeux et souriait, comme habitée par un ange.
La complicité se nourrit de rapports simples et spontanés au Monde. Rajoutez-y un peu de complexité et c'est la "faim" insatiable assurée.
En définitive, il faut avoir survécu seul, pour espérer survivre à deux. La solitude peut seule nous lier au monde et donc à nous-même. Cette solitude, est Silence. Ce n’est pas celle des profanes, car elle ne laisse pas la détresse nous envahir. C’est une prise en main de Soi, une plénitude qui part de Soi et plus des autres, mais qui part de Soi vers tous les autres. C’est une reconnaissance intense de la fraternité de nos âmes. On ne se distingue plus, on ne se sépare plus, on se reconnaît comme issus d’une même substance et y retournant. Voilà le plus bel Amour que la Source ne peut davantage produire ; Voilà l’Amour qui n’est plus illusion et division, mais rassemblement et Joie. Quand on aime, on (se) guérit des autres, enfin! Mais par les autres, on se reconnaît et on se ré-Unit, car la Vie ne sépare plus, la mort n’étant plus une fin en Soi.
Si tu veux qu'une personne se souvienne de toi très longtemps, aime là ou trahis là.
On se rend indéfiniment coupable de l'incohérence des autres, à en tomber malade. Les chagrins d'amour ne sont jamais alimentés par l'Amour. L'Amour ça ne fait pas mal, ça n'engendre aucune peine. C’est nous qui nourrissons nos propres drames en les alimentant sans cesse. Aux mensonges subis, feignez au moins l'indifférence : une seule blessure vaut mieux que deux et la vie est trop belle, pour mourir de l'enfer des autres. Quand tu prêtes ta confiance, on oublie souvent de te la rendre ou on te la jette à la figure abîmée, parfois en lambeau. On doit alors la soigner soi-même, la remettre d’aplomb d'urgence, sans quoi, on se métamorphose, vampirisé par la trahison des autres.
Être honnête avec les malhonnêtes, n'est pas un signe de faiblesse, c'est la plus juste et parfaite réaction d'une belle âme - mais c'est le signe alarmant sur les dangers du monde d'en bas, car on peut en mourir. Ne sois jamais doux avec des gens durs, mais ferme comme l'acier du juste. C'est une question de survie et de respect envers toi-même.
On peut être frappé à mort, mais survivre ne dépend que de nous. Quand nous aurons pris conscience de nos capacités illimitées, on pardonnera aux autres les efforts insensés entrepris sur ce chemin et qui furent jadis les nôtres, et nous commencerons à nous reconnaître, en transparences de justes vibrations et à nous réaligner ensemble.
Pardonner nos propres faiblesses dans l’autre, c’est se donner la chance de guérir. On ne peut pardonner sans un repentir. Chacun est Maître de la Conscience du bon chemin qu’il s’offre.
La réussite? Elle n'est pas dans l'admiration que les autres nous renvoient : c'est la confiance dans l'action et la satisfaction de Soi, malgré les autres. La vraie joie est une plénitude intime dont la jouissance de l'expérience se partage à l'infini. Alors on aime l’autre non pas parce qu’il satisfait notre Ego, mais parce que nous nous reconnaissons en fraternité en lui. Cet Amour pur est inconditionnel. N'aime pas le rêve des autres que quand tu es dedans, aime-le parce que ça le rend heureux. Et puisses-tu accepter de n’être pas le centre du bonheur d’un autre., sans jalousie, sans possession, sans imposer ta présence. Croire en la Vie c’est aussi accepter de passer dans la vie d’autrui sans être obligé de rester, ou de voir passer ceux qu’on aime, sans les retenir. Ça sert à quoi de mendier l'amour Que l'autre n'a plus ? Sinon à retarder le déclin fatal du jour... et refuser d'entrer dans un nouveau matin.
Il est tout aussi absurde de croire en l'exclusivité d'un amour que de le fuir pour un autre, quand tout est Harmonie. Si nous souhaitions vivre chacun comme l'unique et tous comme le premier, mille jours en un n'y suffirait pas. On se perd soi, à trop aimer. Allez viens. Re-créons ce Monde ensemble, où l'on jouera du matin au soir, sans masque, ni mensonge, sans même l'idée que l'un de nous puisse être jaloux de l'autre un jour, au prétexte d'aimer. Car rien n'est plus éloigné de l'Amour que l'exclusivité et son collier.
Celui qui s'aime assez, raccorde ses propres vibrations. Il reconnaît alors la mélodie de ceux et celles qui ont trouvé comme lui, l'Axe Essentiel du Monde qui seul mène à la Paix et la complicité des Hommes. Aime-toi d'abord et tu trouveras ton autre, ensuite. Et dans les yeux du Cœur, vous entendrez l’autre et le reconnaîtrez comme votre semblable. Les yeux sont le couloir des âmes. Ils ne mentent pas. Ne sois pas sage, sous le fouet des autres.
Faudrait être fou Pour ne pas voler...
La sagesse seule est un effort insensé si elle n'est pas un acte pur d'Amour. Elle légitime alors les pires abstentions et oblige aux tristes exigences de la conformité. Fragiles rencontres qui nous font vibrer de mille battements d'ailes, vous espérez l'éternité, mais vous vous vivez sans foi, la peur au ventre. Et que feriez-vous de votre vie si vous ne disposiez que de vingt-quatre comme le papillon? La Foi est plus forte que les doutes, la bonté plus éternelle que la malveillance des ignorants et l’impatience des sots qui pensent trop ou pas assez justement.
La sagesse est une déviance Mentale contre la Plénitude qui par nature ne se censure pas. On n’est plus à l’intérieur, Maître de Soi ni Un avec les autres quand on a franchi sans retour les portes de son Cœur en s’en éloignant. Le seul "au-delà" de nous même, c'est l'Enfer. Dès lors qu'on n'a pas ou plus la force de se recentrer, on vit dans la peur conforme aux limites qu'on nous impose.Toute vérité qu'on impose est toujours un mensonge. Il faut pénétrer assez "en Soi" pour ne plus se fuir, oser revenir de ce très loin qui nous perd toujours.
Les Hommes ont créé les dieux à leur image. Voilà pourquoi, ils ont perdu le sens de l'invisible et du Sacré. Un spirituel n'a pourtant rien d'austère en lui, seule la religion est triste. Fuyez les tristes sires. Fuyez les porteurs de mélancolies pseudo-sacrées. Fuyez les Amours tristes ou mortelles, Fuyez les fausses promesses et les séducteurs, fuyez les calculateurs et les collectionneurs. De fait vous ne les fuirez plus, vous ne les attirerez simplement plus, vous n’en serez de même plus les proies faciles. Je crois que l'humour et l’Amour sensuel sont compatibles avec la Foi et que les meilleurs donneurs de leçons ne sont pas ceux qu'on croit.
Quand l'amour vous isole, vous rend exclusif et jaloux, possessif ou malheureux, manipulé ou pervers, posez-vous les bonnes questions sur ce que n'est pas l'amour, car la réponse libère.
Posséder, c'est rendre captif. Aimer, c'est libérer et ne plus définir ou finir. Expliquer l'Homme, c'est le penser. Le penser c'est s'y perdre. L'Essence est indéfinissable. Il faut dé-raisonner le monde, pour lui rendre son Origine fondamentale. Le Sublime se cache dans le déraisonnable. le re-senti, c'est la mémoire de ce que l'on EST qui remonte du Cœur qu'on a su rouvrir.
Te définir? Tu es mon Infini insaisissable Soi.
J'ai vraiment envie de tout toi
Ne laisser aucune partie de toi
Sans moi.
Il n'y a pas deux façons d'aimer, il n'y en a qu'une : imparfaitement, mais avec la meilleure des intentions. On réduit les distances avec les autres, à mesure qu’on se rapproche de Soi-même.
La confiance, c'est pouvoir fermer les yeux sans peur, seul ou accompagné. Ne plus avoir à se poser la question : « Mais qui est tu exactement? un truc bien qui m'arrive, ou mon bourreau de demain? »
Deux cœurs doivent non seulement se toucher mais surtout s'habiter. Et pour s'habiter, il faut ouvrir la porte de sa maison, de l'intérieur. Ce que j'aime en moi, c’est toi.
On n'a pas le temps,
De ne pas s'aimer follement...
Quand tu captes la douceur en l'autre, c'est que tu as déjà franchi un seuil vers son âme et la tienne.
Le sexe par soi seul, c'est comme le rayon boucherie de chez Leclerc. Ça ouvre et apaise l'appétit, et on y bouffe de la chair froide sous toutes ses formes qu'on nous en-cellophane et qu'on déballe pour le chauffer ... la faim est le prétexte du bout de viande sans âme.
Mais par ailleurs, si un corps dénudé t'inspire autre chose qu'un mélange de poésie, de respect et de désir, c’est que tu n'as pas encore atteint la marche sublime de la créativité et de la sensibilité. Reviens un peu plus tard. C'est juste l'évidence pure, d'une sensualité animée. C'est pas du je t'aime de surface, ou de la tendresse confortable : ça part d'une racine profonde, ça irradie et ça fait jaillir l'âme et la sève, La poésie, le plaisir et un sourire radieux. Les sourires ne peuvent naître spontanément que sous l'influx d'un Cœur qui s'ouvre et qui libère assez d'âme alors pour s'épanouir d'évidence. Tout le challenge est d'éviter les courants d'air et les dépressions qui claquent nos portes et fenêtres intérieures. C’est bien un caractère qui anime ce corps et l'articule, qu'importe qu'il soit fort ou faible, il est le sens de notre quête, la Nature même de toute vie précieuse à affiner chaque jour un peu plus.
Aimer, c'est suggérer de nous rejoindre sans violence ni impatience. Aimer, c'est montrer le chemin de la Source à laquelle on s'abreuve. Aimer, c'est donner à sourire.
Personne n'oublie personne. La vraie question est surtout de sourire à la trace de bonheur qu'elle a laissé. C'est cette effluve qui nous accompagne ici et maintenant, sans besoin de se retourner. Seul le malheur, et son lot de malentendus, nous attache.
Un vrai sourire vous rend toujours le goût du sacré et de l'Instant Sublime, par sensibilités d'âmes qui s'épanchent et interagissent. Les vrais sourires ne peuvent mentir, il sont l'expression la plus directe, profonde et spontanée de notre Être authentique. Si tu peux encore rire ou sourire, tu es encore vivant.
Quand la passion nous a déçus
On l'a méprisé
Mais quand on l'a vraiment vécu
On a existé!
Rien n'est plus éternel qu’un court baiser. Écrire, c'est ne rien dire avec les lèvres, pour les rendre disponibles à nos seuls baisers, car l'Amour est essentiellement Silence, inexprimable. Chaque baiser vaut mille mots illusoires, les mots mentent toujours si les lèvres manquent pour ne pas les dire. Je veux goûter tes baisers.
L'Amour, c'est quand on n'a pas le choix, pas d'autre alternative que l'évidence qui jaillit, quand résister à ce qui peut être partagé dans l'onde de ce flux passionné, serait aussi absurde que se maintenir sous la vague de nos guerres solitaires, alors on est vraiment né. Il n'est plus beau voyage que ceux qui ne nous laissent aucun répit pour nous reposer. Notre vie est un mouvement que la passion seule anime.
Celui qui croit en la Vie, croit aussi bien en ses vertus d'âme que de chair. S'acharner : mettre toute sa chair dans l'élan de notre âme. Le sacré ne se divise pas. C'est d'ailleurs le plus grand des paradoxes et le summum de l'absurde, que cette manie de séparer ce qui doit se rassembler. Le mouvement, c'est de l’âme en action que l'esprit libère ou contraint. Moins on concède de Lumière au mouvement et plus il est brutal. La Lumière est la seule authenticité d'une âme qui s'exprime en justice sur le Rayon, à la perpendiculaire d'un Cœur ouvert. Il n'y a pas de péché de chair, il n'y a que des connards. Un jour tu verras, nos cœurs seront invincibles. Ils n'y auront plus accès et nous pourrons les fusionner sans crainte.
On n'oublie rien à pardonner
On avance sans chaîne aux pieds
On avance, on s'envole, sans plus se retourner
On laisse sur le Sol nos illusions masquées.
Il faut savoir renoncer aux amours vaines, que seuls les mensonges avaient mené à de faux firmaments. Car la chute est toujours mortelle; à trop vouloir y croire on tombe de trop haut.
Ce que je dois mourir, je le meurs Ce que je dois vivre, je le vis. On ne survit pas, sans beaucoup Vivre, mais on ne survit surtout qu’en n’acceptant plus de supporter tout le poids de autres en plus du sien. Laisse toujours tomber les personnes qui t’alourdissent, sinon c'est elles qui te feront irrémédiablement chuter.
Nul n'a à justifier son besoin de clore une relation pourvu qu'il ne blesse pas son conjoint en lui mentant effrontément, en le laissant dans l'espérance, en méprisant sa peine légitime. Les faux prétextes de la trahison font plus de mal que les vraies raisons de la rupture. Partir est un droit, trahir, est un crime contre l'Amour et la Liberté à laquelle on prétend. Je crois dans les changements en amour, pas dans ses mises à mort. Il faut savoir se passer de ceux qui vous relèguent dans leur passé et laisser les portes du présent accueillir ceux qui vous veulent dans leur avenir.
Il est difficile de présenter la Lumière à celui qui a appris à ne plus ouvrir les yeux. Lui seul pourra pourtant désormais déverrouiller cette lourde porte, de l'intérieur, en reconnaissant que l'ombre est un tombeau. On doit tout à ce qui reste du temps qui passe. Le temps nous fonde et nous éveille par strates vers l'essentiel et déconstruction de l'accessoire. Quand tu sais ce que tu cherches, c'est que tu l'as trouvé. La Magie de la Lumière, c'est qu'on ne sait pas ce qu'elle est jusqu’à ce qu'on la sente, et qu'elle ne peut être passée qu'à ceux qui ne la cherchent pas ailleurs et qui s'y impliquent d'eux-mêmes.
Le temps se suspend par l'Amour. En Amour, l'Instant et l'Éternité se confondent. Tout le reste sépare et divise, en fractions de temps qui passe!
J'ai vu des gens heureux. Ils vivaient dans un lieu tenu secret, pour en préserver la Beauté originelle, et nul ne pouvait y accéder pour sa curiosité. Ce lieu magique et infini, avait une forme de Cœur. C'était le leur, c'était le mien. Sera-ce le vôtre bientôt? Le temps n'y compte plus, il n'est plus que le métronome de notre Coeu
Je crois dans mon Ego autant que dans mon âme. Je ne les oppose plus. Ils s'épousent comme à l'origine du Monde. Fiançailles magiques du JE et du SUIS, en un seul Être.
On réalise jamais à quel point la vie est brève. Et soudain, on s'en va. Et tout le monde s'en fout. Alors, autant en sourire, jusqu'à la fin. Les sourires ne sont jamais des mensonges quand les yeux le suivent. Je n'ai pas peur de la mort. Je l'ai regardée en face. C'est moi qui lui ai fait peur. Je sais maintenant qu'elle me fauchera par surprise, car la mort n'affronte pas les gens heureux, elle les abat lâchement dans le dos et dans ses griffes je sourirai encore.
Et si chaque matin n'était qu'un instant de l'éternité, si nous cessions de nous découper en lamelles grossières de temps, si nous profitions de chaque bonheur d'aimer, là où Lune et Soleil sont UN? Nous Vivrions enfin l'éphémère accessoire de l'Essence immortelle. Je crois dans la grâce des pensées subtiles. Je crois dans ce que le Cœur allume de doux et de mystérieux en nous, dans la Beauté qui nous réveille un matin de septembre. Chaque jour est un calice rempli d'âme qu'on libère. L'Espérance de Paix au milieu de ses guerres? Voilà comment l'âme guide un Homme qui la perd. Tout ce qui survit (et tout ce qui précède) aux grands malentendus de la Vie, c'est de l'Amour pur.
1) Ne soyez l'otage de personne.
2) Ne vous transformez pas en béquille pour un autre.
3) N'en cherchez pas non plus pour vos propres déséquilibres.
4) Trouvez votre place au Centre de votre Cœur. Les 4 premiers commandements ne seront plus un réflexe conditionné, mais une évidence libre.
Je suis redevenu immortel, le jour où j'ai senti que le monde était en moi et que ce Moi n'était pas un calice, mais une projection provisoire de décors. Alors, corps et âme, je me suis reconnu dans l'Essen-Ciel et je marche aujourd'hui au travers l'immensité qui ne me limite plus et par laquelle nous entendons nos sourires à la Source qui nous lie.
*** Educere : conduire à la lumière, élever, croire en la raison ; seducere : conduire à l’écart, séduire, tromper, jouer sur les zones obscures de l’être.
Le bonheur pour une abeille ou un dauphin est d'exister. Pour l'homme, c'est de le savoir et de s'en émerveiller.
La vie est pavée d'occasions perdues.
Je crois, malgré les occasions ratées, à la multitude des possibles.
Ainsi où que tu en sois, de grâce n’en reste pas là ! Tu dois passer d’une lumière à une autre lumière.
Rien n'est plus triste qu'un enfant à qui l'enfance a été volée.
La jalousie est mille fois plus terrible que la faim, parce que c'est une faim spirituelle.
Toujours l'homme emporté trouve en lui son supplice.
Le plus beau voyage d'ici-bas, c'est celui qu'on fait l'un vers l'autre.
Souviens-toi: Nous sommes notre propre chagrin, nous sommes notre propre joie et nous sommes notre propre remède.
Peut-être cherchez vous parmi les branches, ce qui apparaît seulement dans les racines.
Sortez de vous-mêmes et cassez cette coquille qui vous emprisonne dans votre «moi» pour lever les obstacles et défier la morosité pour que la joie, source énergétique, entre dans votre existence.
Qui garde son âme d'enfant, ne vieillit jamais.
L'enfance, cet univers entre le réel et l'imaginaire d'où jaillit l'innocence et l'insouciance.
Il faut laisser vivre l’enfant qui dort, court et joue dans notre cœur. Il est le lien le plus authentique avec l’essentiel de la vie que nous oublions trop souvent.
L'âme ? C'est bien par elle que la vraie beauté d'un corps rayonne, c'est par elle qu'en réalité les corps qui s'aiment communiquent.
Nos pensées donnent forme à ce que nous supposons être la réalité.
Il n'y a pas de jour parfait Il y a des moments Où il suffit d'un simple geste Pour le rendre inoubliable.
Oh! qu’il est facile, sentais-je, de créer de la joie et de s’en réjouir : on n’a qu’à ouvrir son être et le flot de la vie se répand d’humain à humain, se précipite des hautes classes vers les basses pour rejaillir dans l’infini.
"Nous sommes d’une grande légende, nous sommes d’une grande Lumière, et rien n’apaisera notre faim de Lumière. Nous sommes d’un grand Amour qui n’admet point de séparation.
Se transformer soi-même, c’est transformer le monde entier. Le soleil brille, tout simplement. Parce qu’il brille, le monde entier est plein de lumière. Se transformer soi-même est un moyen de donner de la lumière au monde entier.
Quand on raisonne en amour c'est comme si on le pesait. L'amour n'a pas de limite sinon ce n'est pas de l'amour.
Le génie est une réponse à l'impossibilité de vivre, le bondissement du cerf au-dessus de la meute.
De n’importe où on peut s’élancer vers le ciel.
Le temps est ce qui meurt, l'espoir est ce qui naît.
On n'attire pas ce qu'on veut, on attire à nous ce qu'on est.
Oh ! qu’il est facile , sentais-je , de créer de la joie et de s’en réjouir : on n’a qu’à ouvrir son être et le flot de la vie se répand d’humain à humain , se précipite des hautes classes vers les basses pour rejaillir dans l’infini.
Pour la première fois depuis longtemps, j’ai ressenti le désir de me venir en aide.
La langue du cœur est universelle, il ne faut que la sensibilité pour l'entendre.
Je leur enseignerais à trouver le bonheur qui est tout près d'eux et qui n'en a pas l'air.
"Pendant des années j'ai attendu que ma vie change. .. Mais maintenant je sais que c'était elle qui attendait que moi je change.
La tendresse, c’est l’écoute de la différence et l’acceptation de tout ce qui nous sépare
Qui cherche l’infini n’a qu’à fermer les yeux.
Homme, si le paradis n’est pas d’abord en toi. Entends-moi bien : aucun chemin ne t’y mènera.
Aucune grâce extérieure n’est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l’âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps .
Le désir et l'espérance sont deux vents nécessaires pour la traversée de la vie.
Ce que nous cherchons se révèle être ce que nous sommes. La quête s’arrête à l’instant où le chercheur meurt dans la présence qui l’habite.
Le vrai amour ne prend rien; il vous laisse même votre solitude où vous pouvez aller par vous-même, indépendant. Mais le vrai amour ne vous abandonne jamais. Ainsi, la parole aimante est-elle une demeure où nous pouvons habiter dans l'errance.
Lorsque l’esprit est libre, tout est libre autour de soi.
Le regret est le désir de changer le passé La peur est le désir de contrôler l’avenir La paix est l’abandon au présent.
Le mouvement qui donne naissance à l'existence de l'univers est le mouvement de l'amour.
Le véritable amour est une étoile dont le rayon révélé à l'âme humaine toutes les choses belles de l'existence.
Rangez vos états d'âme et faites bien attention à l'endroit où vous conserverez l'essentiel : "On ne vous donne qu'une seule étincelle de folie, vous ne devez absolument pas la perdre."
Nous sommes nés avec l’Amour. Et nous avons appris la peur. Le voyage spirituel consiste à répudier, à désapprendre la peur et à accepter le retour de l’Amour dans notre cœur . L’Amour est un fait essentiel de l’existence. Il est notre ultime réalité, notre ultime but sur terre.
L'amour respecte tellement qu'il donne la liberté. Et si l'amour ne donne pas la liberté, alors ce n'est pas de l'amour. C'est autre chose....!
Quoi que tu fasses, brise le temps, pour qu'il s'écoule plus lentement, tu auras ainsi plus d'espace pour tes ailes.
Rire, c’est refuser de se laisser aigrir par notre impuissance et nos échecs, c’est montrer que la vie reste la plus forte et qu’en son centre, on a placé la joie.