La terre pouvait trembler et le feu de l'ennemi pleuvoir sur nous, la transcendance guidait nos pas. Qu'importe la mort, puisque nous défendions la Vie au nom de Dieu et du Roy.
Nous sommes les tracés éphémères de notre Éternité. En restaurant notre Puissance, à chaque pas fragile, nous nous libérons peu à peu du lourd fardeau du Moi, et nous n'embrassons plus seulement que nous-mêmes.
Les enfants font du monde leur terrain de jeux joyeux, un pays de merveilles, mais adultes ils le transforment, peu à peu, en parcours d'obstacles, un champ de mines et de batailles tristes. Entre ces deux périodes, il y a forcément quelque chose qui a failli.
Il devrait ne rester que des enfants, qui passent de Terre au Ciel, à cloche pied en riant. Et j'ai gardé au fond de moi, l'appel de cette innocence subtile, l'élan de tout ce que je suis, par delà ce que nous pensons être.
Au milieu des jours sombres
Passe notre Lumière
Et le Cœur couvert d'ombres
Porte en lui l'été clair.
Le plus dur sans doute quand on est libre, c'est de le rester. Il y a tant de chasseurs en ce monde. Plus rien, ou presque, n'y est plus sauvage. Nous sommes l'instinct d'âme merveilleux, qu'une bride menace, à chaque instant non habité, de nous rendre malheureux. Nous sommes des adultes tannés par le temps que l'enfance a abandonné.
On est mortellement touché par l’avidité de nos possessions et de nos accumulations d'hommes sans foi. Et pourtant, ne voit t'on pas que ce qui pourrait réenchanter nos jours? c'est la Vie qui se déploie librement comme le vent, qui frôle les corps, qui sent bon la bise légère, qui essaime les graines et qui élève le cerf-volant de notre enfance joyeuse.
La seule difficulté qui subsiste quand on est heureux, c'est de voir son bonheur contraint par l'agenda du monde et vos chronomètres modernes. La course au temps vous éloigne e vous-même. Il faut, malgré tout, rester Lumière intemporelle avec compassion, mais surtout avec patience, exemplarité et force, face aux ombres de l'heure qui nous contraint, compte à rebours angoissant que nos doutes accélèrent.
Quel danger représentes tu donc, ma chère âme innocente et sensible, aux yeux de ceux qui souffrent et auxquels tu offres le réconfort de ta paix? Faut-il que leurs démons soient si puissants pour les convaincre que leurs peurs valent bien plus que la douceur de ta Joie? Si ma lourde épée tranche les ténèbres, pourquoi ne renoncent-ils pas d'eux-mêmes à s'empaler sur elle? Je ne porte aucun coup, qu'ils n'aient voulu eux-mêmes souffrir, par leurs obsessions, à se confondre avec les ténèbres qui les séparent de leur Beauté.
Témoins de la Possession destructrice des Egos triomphants, soyons les exemples créatifs de la Conscience Sacrée. La laideur est une maladie de la tête, mais que le Cœur sait soigner. Il est grand temps pour chacun, de dénouer les cordes qui entravaient le mouvement de la Beauté en Soi. On ne peut pas Toujours faire comme l'on veut, mais on doit pouvoir faire toujours ce que l'on peut, avec bienveillance et transparence. C'est le plus bel instinct de notre âme et sa plus entière vocation.
Libérons la Lumière cernée par les ombres de la peur et de l'égarement. On ne peut sauver tout le monde, mais chacun peut et doit commencer par se sauver Soi-même.
Quand on a eu la chance enfin, de sentir la Beauté et la Magie en Soi, on sait à quel point elles ne dépendent que de notre attention et de la capacité qui est en nous, de ne plus en ternir l'éclat par les voiles de notre laide et confortable banalité.
Un homme n'est un homme, que s'il est devenu un Magicien ou resté un Enfant. Je suis un chevalier-enfant, que le Christ appelle dans la Lumière de l’Éternité profonde. Je suis animé par elle, et ne peux plus douter. Entendez-vous mon âme?
Il faut bien du courage, quand on se sait immortel, car tout notre amour abonde, souvent sans succès, le Cœur vide de ceux qu'on aime, égaré à la surface de lui-même, n'entend pas la profondeur de nos évidences indubitables. Alors nous aussi, nous pleurons avec eux. Et souvent ils nous en veulent et nous combattent. L'ignorance est une violence faite à soi-même, d'abord.
Je ne combats pas les hommes, mais les ténèbres qui les encerclent. On a tous une part d'ombre qui nous isole et nous nous sommes tous noyés, plus qu'à notre tour, dans les profondeurs glauques de notre ignorance. J'ai moi aussi manié le fer, pour la gloire et l’orgueil. Me voilà libéré des chaines de mon passé. Peut-être grandirez vous dans cette espérance et reconnaitrez en vous, les clés de votre propre sourire retrouvé. Je ne peux vous prêter les miennes, juste vous persuader de les chercher dans votre Cœur.
Il ne s'agit donc pas de dire à celui qui se noie qu'il doit remonter pour respirer, mais de le reconduire avec bienveillance et compassion à la surface des eaux qui le submergent, et jamais malgré lui - car il est déjà mort, celui qui ne lutte plus. L'instinct de survie lui fera respirer alors une grande bouffée de Soi. On porte déjà tous en Soi le germe de la Joie, dont nous nous frustrons.
Ils sentiront bouger leur âme endolorie et leur coquille se fissurer à grand bruit, mais l'élan de la Liberté - qui les paralysait par la peur des choix duels - dissipera leur peur; Le premier cri poussé, sera soudain un cri libérateur.
Sois, par ta Présence, l’Écho rassurant de ce qui germe.
On n'a pas droit au Bonheur, non! On Est ce Bonheur, sans obligation. Un droit, c'est un combat violent, le Bonheur suppose de rendre les armes, de ne plus croire que l'épée est une arme. Le bonheur n'est bridé que par nos résistances et nos divisions. Lâchez prise, ne le cherchez plus. Vous Êtes le Bonheur désarmant, Ici et Maintenant.
Si le monde est malheur alors, Soit. Le malheur des uns fait le malheur des autres. Ne compte alors que sur ton propre bonheur, qui est fragile comme toi, mais qui rayonne autant que tu l'Es. Il est la Vie profonde, sans plus d'éphémère. Crois le bien. Ton Sacré-Cœur regorge de bonheur ignoré.
Il y a un tunnel entre ce qui parait et ce que l'on est. Désencombre-le des gravats mentaux de l'ignorance et des peurs, qui en obstruent l'entrée et tu réinvestiras le Foyer du grand Feu de la Vie, dont tu n'es pas qu'une des flammes éphémères, mais sa plus pure essence.
On s'est couvert de tant de couches de vêtements lourds et d'armures, pour lutter contre notre froid Mental, sans penser un instant rallumer notre chaleur intérieure ni moins encore, l'alimenter de son carburant d'Amour pourtant gratuit. Je rêve de cet instant ou je pourrais faire tomber l'armure. La Paix est toujours nue et fragile en Beauté. Nous ravivons, à chaque seconde, le feu qui réchauffe ou celui qui brule. Qui peut en connaitre, sinon toi-même.
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N'écoute les princes que par la bienveillance qu'ils rayonnent. N’obéis qu'à ton Cœur et vous partagerez le même Royaume, sans servilité ni domination.
Je n’apprécie pas ceux qui nous ordonnent le bonheur et ses recettes. Ils imposent la raison et font ramper notre tête et la leur...le plus souvent en rond.
Je n'apprécie pas les intellectuels. Ils cristallisent un peu plus la forme en créant une surcouche mentale complexe qui voile un peu plus notre Lumière abimée. Savoir n'est pas connaitre!
Ces gens qui vous demandent d'être forts n'ont rien compris, non plus. La vraie force, c'est notre fragilité, celle qui a ouvert des brèches dans nos armures uniformes et froides, en y faisant passer un peu de notre âme engourdie. Les gens forts eux, meurent ankylosés et veulent endurcir nos Cœurs perdus dans leur monde sans âme.
Je n'aime pas les méthodes, ni les modes d'emploi, ni moins encore les techniques qui vous promettent l'équilibre et la Lumière. Chaque chemin est unique ; et si l'on peut croiser nos routes, on ne peut suivre le chemin d'un autre sans s'y perdre. Le chemin du Graal est une route qui n'est commune à personne.
On ne s'extrait pas du monde matériel au prétexte, même juste, de son évanescence. Ne crois pas en Dieu si tu n'en ressens pas la Présence. Ne crois pas en l’Éternité, si tu compte encore tes heures. On ne se libère des peurs et de l'absurde méchanceté du fatalisme, qu'en habitant chaque seconde et chaque objet de ce décors en papier, de toute notre âme émerveillée, sans plus compter que sur Soi. Ce Soi qui rassemble les égarés, pièce après pièce, morceau par morceau. Mon épée ne découpe plus, elle réunit ceux qui savent l'être.
La simplicité s'inspire des profondeurs. C'est à elle, reconnaissant, que je confie ma foi. Et c'est ma Foi qui m'offre un Seigneur, et non un Seigneur qui me l'impose. Alors JE-SUIS CELUI QUI EST, à l'image de CELUI que je sers et qui ne m'asservit pas.
Soyez la Lumière, et plus l'abat-jour. Vivre c’est être lumineux sans vouloir le paraître, juste l’être pour Soi et les autres. Juste éclairer son monde, sans plus subir les ténèbres On co-crée le monde qu'on mérite, on perçoit le monde qu'on Est ou qu'on nie.
Les esprits brillants ne tirent aucun profit de la Lumière qu'ils passent, mais nous tirons tous profit de la Lumière des esprits brillants. J'aime sentir que nous sommes tous reliés à une seule Essence qui se manifeste sur le Plan des hommes fragiles. Les grands hommes se font tout petits, ne veulent pas briller, mais rayonnent sans limite. Les grands hommes n'aspirent qu'à cesser le combat, mais défendent les plus fragiles.
On n'a juste besoin de rien pour avoir tout à perdre ou à gagner.
On a besoin de beaucoup de nous-même, pour vite se retrouver.
Eh dites, les gens
Faudra qu'on s'aime un jour
Avant d'crever.
Il n'est rage plus folle
Que l'orage qui gronde
Au milieu d'un ciel bleu
Mes nuages m'isolent
Dans un entre deux mondes
De poussière et de feu.
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La Beauté rentre par nos yeux, mais elle résonne dans notre Cœur, qui partage la même Racine. Dans le monde de l'apparence, nous vivons en confrontation, dans le monde de l'Essence, nous aimons
La Beauté ne se reconnaît pas en surface et par ces temps sombres il est vrai, la Beauté est rare, mais elle n'est pas un luxe qui se monnaye en métal courant.
Il n'est qu'ombres et éblouissements en périphérie de la Lumière, mais en plongeant en son centre, on ne projette plus que des rayons qui éclairent soudain tout un monde inconnu.
J'ai un secret, ne le dis à personne : Nous sommes fait du même rêve, ce pourquoi, tu es dans le mien et je suis dans le tien. Nous ne serons plus jamais des ennemis et nos joutes ne seront plus que fraternelles.
C'est pas fait pour être vécu, un joli rêve. Dès qu'on le vit dans le monde des gens d'ici, ils nous l'abîment, comme ils détruisaient petits, nos châteaux de sable, sur la plage de Trestraou. Non! Un rêve c'est fait pour être rêvé éveillé, entre belles âmes.
Le monde est un cercle, dont chacun de nous est le centre jaillissant. Comprendre ceci, c'est saisir la nature du vide et de la plénitude, c'est lever le voile sur la grande illusion pour faire de chaque jour une nouvelle force qui s'appuie sur nos faiblesses d'hommes.
Nous sommes des orphelins de la Conscience. En trouvant le Centre du Cercle de Vie, nous redécouvrons notre réalité d'âme et nous dansons avec le Monde comme les anciens, nous ne sommes plus séparés de lui.
On n'ouvre des chemins que de rêves et de Cœurs. le reste n'est qu'Enfer et portes fermées.
Il ne s'agit plus de rendre la vue à quiconque, puisque personne n'est aveugle en ce monde, mais de donner à voir bien plus loin que la myopie de nos Cœurs flous. La Beauté n'est jamais floue. Elle est la Vision claire.
"C'est au rayon de mon astre que j'ouvrirai mon cœur" Que ce blason et sa devise, guide chacun de mes pas, comme ils m'ont toujours guidé. Ce n'est pas la bannière qui m'a choisie, c'est moi qui l'ai méritée.
Penser la vie, c'est se réfléchir, hors de soi. La sentir, c'est s'y fondre sans distance. Et si nous faisions de demain notre meilleur d'aujourd'hui? La Lumière d'aujourd'hui éclaire les ombres d'hier. La Lumière se suffit à elle-même, elle le ressenti et pas la brillance. Elle n'a pas de limite ni de séparation. Elle EST Pur ÊTRE.
La Comm-Union n'a plus de frontière. Elle est le seul Foyer qui ne nous sépare plus du Monde ni des autres. Elle est pleine conscience de tout ce que nous co-créons sans le savoir, la remontée en joie de ce que nous Sommes, l'Instant Sacré qui ne s'oublie plus. Le combat qui n'est plus nécessité.
Ne brandis aucune bannière. Ton Cœur transcende leurs frontières. Épouser les éléments, c'est trouver le point d'adéquation entre obstacle et liberté pour ouvrir un chemin de plaisir et d'amour. La vigilance, c'est maintenir son attention au dessus des cloisons fermées de sa propre influence mentale et de la pression du confort des autres. C'est un état d'émerveillement qui capitule devant les tensions et l'effort qu'on croyait nécessaires.
Il n'y a absolument pas de choix à faire dans le non-duel : l'évidence du "Un" nous porte sans combat, quand on ne lui résiste plus. Quand l'Harmonie nous traverse et qu'elle n'est plus arrêtée par nos nœuds et nos murs, alors on est heureux, dès ici-bas, ici et maintenant.
C’est le trop plein de souvenirs qui élude notre Présence. Pour aimer plus, pour aimer mieux il faut d'abord s'aimer d'avantage. Tout n'est plus alors qu'une vie de plaisirs et envies de partages. Et s’aimer mieux, ce n’est pas s’attacher à l’amour de l’amour, mais simplement aimer ce que nous sommes, en le vivant sans concession ni peur, en plongeant dans la Lumière, en étant cette Lumière.
Encouragez votre enfant à s'aimer pleinement et sans condition. Il ne dépendra ni ne suivra plus personne que lui-même. Il reconnaîtra la vraie Joie en partage et sera adoubé par la pleine Conscience Sacrée, constitué et reconnue par elle.
Il y a en effet et toujours ce cercle vertueux : la confiance, celle qui est insufflée par notre Cœur, qui est tout sauf la raison rigide de nos résistances mentales habituelles. Osez douter de tout, sauf de vous-même. Chaque instant est neuf, et spontanément Soi.
Ne te rends plus complice de ce que tu n'es pas ni esclave des vils félons qui te commandent. Ne te rends plus coupable de ce qu'ils t'ont imposé de terres, d'or et de gloires, tout n'est que poussière. Reprends ce qui t'appartient et restaure ta confiance en ce que la Nature ne t'a jamais volé.
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Nous ne sommes pas un point dans l'Infini, mais l'Infini dans un point.
L'illusion est forte, mais n'a pas le goût de l'Essen-Ciel.
Et c'est ainsi qu'on la distingue, en allant bien plus loin qu'elle.
Ne sois plus la chrysalide qui nie son papillon. Il faut bien sentir que l'univers est harmonie pure, et qu'il n'existe aucun blocage ou nœuds dans cette toile infinie, qui ne nous soit directement imputables. Moi je crois en l'Amour, en sa forme pure, celle qui ne se réfléchit pas.
Il faut restaurer la Présence de notre âme au cœur du temps et de l'espace. Pour y parvenir, il est nécessaire de se déconditionner des cadences infernales et habituelles, pour s’aménager des plages intérieures de Silence paisible qui suspendront l'Ego-sille-Ment du Moi.
Les souvenirs ne restent pas, c'est nous qui les retenons. Le vie ne passe pas, c'est nous qui la laissons filer. Habite ce monde en Conscience et ne laisse aucun espace, ni aucune seconde, vides de ta lucide Présence.
Nous sommes les sujets de la Vie, mais il ne faut pas juste vivre non. Ça, c'est à la portée de n'importe quel objet insensible. Il faut sentir, aimer la proximité quasi indivisible entre Soi et l'étrange qui faisait peur. C'est çà vivre, c'est ça aimer: se familiariser avec l'étranger qui vit en Soi.
Le complexe nous éloigne, la simplicité nous rapproche, la Présence nous illumine. Ressentir la cristallisation de notre véritable substance, c’est commencer à la vivre en paix, sans plus nous égarer à ses extrêmes apparences. Soyez l'intensité au milieu de tout ce qui peut s'arrêter. Soyez l'Essence même au cœur de l'accessoire, car l'appel de Soi est bien plus grand que les détails qui nous manqueront toujours.
Le monde dépend des seules couleurs qu'on s'offre, ou dont on se prive. Il Est, ce que nous sommes. Les rêves ne sont vivants que si on les habite. Si l'austérité est un manque de Soi, la Joie est sa seule plénitude.
On ne souffre jamais que d'attendre ce qui est déjà là. On peut faire rentrer l'Univers entier dans son Cœur. D'ailleurs, il n'en n'est jamais sorti, c'est nous qui attendions à l'extérieur! Et, à l'instant même où la déchirure se fait la plus douloureuse, elle devient aussi la plus nécessaire pour notre transformation.
Les pourquoi sont inutiles. La raison y répond toujours mal. L'évidence des intuitions ne connait pas les pourquoi, mais le seul bonheur ressenti et vivant des parce que. Laisse le courant de l'évidence réveiller ton En-Vie, les explications sont vaines. Elles sont un combat sanglant. Seule ton intuition saura guider tes pas.
Tout est déjà là. Tu portes en toi les saisons de la Vie-Une. Tu ES le Cycle qui te reconduit à Toi. Le bonheur c'est le jus et la pulpe de l'orange. On ne peut prétendre s'en abreuver, sans l'avoir d'abord cultivée patiemment au soleil, puis pressée douloureusement, en renonçant à sa forme que l'on perce et malmène.
J'ai souffert de percevoir l'extraordinaire, car cela me rendait différent. Aujourd'hui je sais à quel point nous convergeons tous vers cette Source Sublime et discrète, seule voie qui nous rapproche, et mieux encore, qui nous fonde en Fraternité.
Je vis comme tout le monde, mais je ne vois comme personne. Je mets tellement de mon âme dans chaque chose que parfois, il me faut des mois pour la retrouver. Mais tant qu'on n'est pas transparent, il n' y a de place ni pour soi ni pour l'autre. La transparence est la Lumière des Cœurs paisibles.
Nos différences nous divisent, c'est vrai, mais pour comprendre en conscience qu'elles recomposent quand on se rapproche, notre paysage commun originel et indiciblement sublime. On est tous ce symbole incomplet en quête mutuelle de son grand Mystère.
La Lumière est un rayon de Silence
Le Cœur jaillissant de la Conscience
Animant les formes de l'apparence
De la douceur du Tout en Présence.
La solitude est un chemin vers l'autre, et c'est d'ailleurs le seul. Je chevauche seul, au milieu de la foule en quête de Fraternité.
Un jour tu sauras, que le monde n'est rien sans toi. Ce sont nos vagues a l'âme qui génèrent nos tempêtes, et non les tempêtes qui creusent nos vagues à l’âme. Bien aligné à la verticale de Soi, on communie avec l'Harmonieux Océan Universel. On n'est plus entrainé ni dispersé par nos courants contraires. Nous sommes un océan infini, naufragé sur une île. Ne sens tu pas l'appel du large?
Chaque goutte du vaste océan se croit différente et si seule parfois, sans quoi elle ne serait ni conscience, ni liberté.
La Beauté apparait et disparait dans nos yeux, comme le flux et le reflux de nos attractions lunaires, mais elle est l'Océan qu'on habite et qui est notre demeure.
Soyez au moins aussi intéressé par ce qui se passe de permanent en vous, que par ce qui passe en vous, d’impermanent à l'extérieur. La réalité première est à l'intérieur et la réalité secondaire est un décors qui révèle la première.
Rien ne part de ce qu'on aime, rien ne part de ce qu'on EST, car le Verbe se conjugue au Présent. Viens! Je serai là où tu te seras retrouvée. Dans la pleine conscience du Présent le temps passe, mais on s'en fout, puisque l'on reste.
Il est dur de partir, et il est plus dur encore de laisser partir. Quand on aura compris cependant, que personne ne part et que, ni le temps ni l'espace ne nous séparent, alors nous pourrons nous dire "au revoir, je suis là".
Nous sommes des éclats d'Amour brut, pas de la brutalité d'amours éclatées. Je ne compte plus ni mes années, ni mes heures, ni mes Ecus. Je compte sur mes amis et mes amis peuvent compter sur moi. On mérite la richesse de qui nous sommes, dans l'éternelle présence reconnue de l'essentiel qui vibre.
Quand on a le goût immodéré de la Vérité, on est parfois persécuté par le mensonge des autres. Il faut alors alors beaucoup de foi en soi, pour ne plus se soumettre à l'impérialisme de notre plus grande faiblesse.
Quand on a le goût immodéré de la Vie, on a le bonheur en Présence, car la Présence est la Force Sacrée qui comble toutes nos fragilités, malgré tout.
Ô belle rose
Vous qui mourrez demain
Quelle est la cause
De ce triste destin
Le chant des oiseaux vous donne de l'espoir
L'aube est là vos pétales sont noirs
Déjà, vous commencez à plier
Vos dernières heures sont arrivées.
On nait fragile mais fort, on grandit fort mais fragile. Il n'y a pas d'équilibre sans poids. La Force ne domine pas, elle pacifie jusque dans sa plus authentique fragilité. Il faut beaucoup de force en moi, pour contenir toutes mes faiblesses.
L'oiseau ne détruit rien du monde qu'il picore, il en fait son nid. Il ne se détache ni du monde, ni de lui-même, mais il ne s’attache à aucune peur ni à aucune raison. Il glisse dans le monde, comme dans le courant naturel de la vie qui doit.
L’oiseau ne connaît rien du risque, il est la Vie même et ses dangers, face auxquels il se protège et répond toujours de façon immédiate. La peu est inutile et le risque est prévisible. Il faut l'accepter. Là où il y a de la vérité, il y a du désir, là où il y a du désir il y a un risque, là où il y a un risque, il y a la Vie. La Vérité est un risque à prendre. Elle se vit, car la Vie se gagne en conscience et se perd toujours dans tous les cas, car rien n’est permanent, sauf l’essentiel qu’on y dévoile.
On entre ainsi en communion avec le monde de tout notre invisible vibrant. 99 % de notre inconscient - et pas malgré nous - embrasse déjà ce Mystère et construit chaque instant de cette Beauté première. Comme il est Sublime de la faire remonter en Conscience.
Tout ce qui semble autour de vous est en vous ... vous êtes le générateur idéal de votre monde. Soyez la vision dont vous avez besoin et construisez-la.
Ne soyez jamais plus une version dégradée de vous-même. Écoutez vos larmes, elles tracent un chemin vers votre joie originelle. Suivez le.
On apprend de Soi-même et on se reconnaît dans les autres. Le vrai savoir remonte en nous. La bienveillance, l'exemplarité et la patience de ceux qui nous aiment la stimulent.Voilà la transmission qui propose ce que nous sommes, sans violence ni artifice.
Si tu te sens triste, tu es cette tristesse. Si tu ressens la Beauté, tu es cette Beauté. Si tu es cette Beauté, la tristesse s'estompe... à jamais
Si être ancré c'est subir l'attraction terrestre, alors laissez moi m'envoler ; mais si c'est plonger ses racines dans la terre et lever les yeux vers le ciel, dans l'alignement de ses chakras, être pleinement terre et ciel, alors oui j'adhère à cette chaîne de conditions. Car le risque est beau, le risque est fort, le risque est vie, comme son impermanence.
Il faut apprendre à fermer son parapluie, sous les averses de l'Amour. La peur parfois nous rend imperméable à ce qui nous ressemble pourtant le plus. On s’attache à ce qui nous protège du risque, par peur et la peur est le contraire de l’enthousiasme qui fait vibrer la Vie.
Alors, comment distinguer sans équivoque l'Amour de l'attachement? À la main qui apaise ou à celle qui s'agrippe. La première donne beaucoup de sa plénitude mais la seconde, nourrit ses propres manques. En Amour, on sait ou on ne veut pas Sa-Voir. On est toujours coupables de fermer ses yeux.
On ne croit pas dans les anges et puis un jour, en faisant le ménage dans son Cœur, on reconnaît son pas. L’ange en Soi, passe toujours près du démon en Moi. Ce démon que j’éprouve et calme de tempérance délicieuse. Ce démon grognant qui s’apaise, devient l’ange que je me dois.
99 % de ce que nous sommes, agit inconsciemment. Respirer, prêter ses formes au monde, faire battre son Cœur, générer la Vie... et nous sommes cette Magie invisible qui opère au Cœur, tandis que nous croyons n'être que sa surface mouvante car tangible. Je crois qu'on ne connait qu'un tout petit pourcentage de ce que nous sommes vraiment, et que cette part d'inconscient a vocation à remonter, en conscience, à notre rythme propre.
Là où il y a de la profondeur, il y a un toucher sacré.
Elle se relève
Dans un rêve
Sans trêve
Et s'élève
En tenue d'Eve.
Tout ce qui touche au Sacré est élégance pure, une nudité sans voile, décomplexée de sa chute initiale, débarrassée de sa culpabilité, rendue à son état originel. On aime l'essence d'un être, et on le touche irrésistiblement pour donner corps à ce rêve venu d'un autre monde.
Pour donner du sens à ta Vie, redeviens l'Essence qui anime ses formes. Toutes les projections du Cœur sont des reflets de sa Source, simples et paisibles. Et tant pis si trop peu la trouvent et s'y baignent, tant qu'ils ne t'en dissuadent pas toi-même.
On fait parfois de la gentillesse un prétexte pour abonder son besoin de possession, un appât subtil, avide et camouflé. Je préfère les gens vrais, moins attachés à leurs manques, plus pleins d'eux-mêmes, quoique distants, mais sans séduction trompeuse.
Je suis des secondes d'infini qui (se) battent dans l'horloge d'un salon. Je suis un Monde trop vaste, dans un corps trop étroit. Il n'est plus bel espace que celui qu'on ne limite plus de nos frontières mentales. S'identifier à un modèle nous cloisonne et nous divise. Se dés-identifier est le seul moyen de se retrouver Soi, dans la Paix de l'Essence comm'Une. On ne se distingue plus, on se rassemble. On se ressemble, on s'Unit en juxtaposant nos Cœurs respectifs au Cœur du Tout. Les obstacles ne valent que si on s'en libère.
Amour 1 : jaloux, violent, colérique, triste, désabusé, trahi, en manque, passionné, en souffrance, volé, abimé, cynique, manipulé, manipulant, calculateur, hystérique, oublié, obsessionnel, indifférent, bipolaire, irrespectueux, aveugle, attaché.
Amour 2 : Joie.
L'un des deux est un fake! Faites votre choix!
Ne soyez pas trop sage pour oublier l'amour, mais soyez assez sage pour ne pas l'oublier.
Il n'est de sublime sensualité
Qu'exaltée de nos âmes passionnées.
Un jour vous sentez le bon rythme de votre Cœur. Vous avez cessé de résister à l'Harmonie du Monde et vous y êtes synchronisé sans plus de nœud, sans plus de résistance. C'est tout ce qu'il y avait à faire : Reconnaitre et redevenir une note de la portée Universelle.
Il n'y a pas de douceur apparente. La douceur, on la porte sur son visage, dans ses silences profonds, c'est un état d'être, une attitude, le Cœur qui transpire la paix inébranlable de son âme.
Les mots, comme nos corps muets, sont creux tant qu'on ne les habite pas. On sonnera tous, un jour, du Son sacré et magnétique de la lyre des anges, quand on aura pénétré dans la nef ensevelie de nos Cœurs endormis. Les mots vibrent d'âme, comme doivent "faire" les corps. Ce pourquoi ils sont l'Amour même qui s'incarne.
Il ne me faut pas votre assentiment pour être moi-même, mais votre reconnaissance pour se comprendre. Toute connexion nécessite d'abord un retour à la simple expression de Soi, puis un contact inéluctable de deux Consciences émerveillées réunifiées, qui se touchent en profondeur.
L'Harmonie amoureuse doit mobiliser tous les plans disponibles de notre Être, sans économie d'âme ou de chair. Comme les instruments à vent s'animent du souffle inspiré des duettistes, les corps portent l'écho des Dieux.
Ce qui nous touche est invisible et pourtant, ô combien palpable. Ce qui nous touche est toujours nu, sans artifice.
On se frôle de corps, mais on ne se reconnaît que d'âme.La pire des nudités est celle dont on fait le trophée et la vitrine, la proie de l'orgueil ou l'obsession de la surface. Quoi de plus beau qu'un corps libéré de sa honte, qui ne soit plus prétexte a aucun Ego, mais la forme la plus visible d'une âme libre de ses mouvements?
J'ai vu le monde entier dans ses yeux et surtout, je m'y suis rencontré. Elle a un corps, comme tant d'autres semblables, mais ces formes - dont elle habite chaque espace - sont tissées de l'Infini : c'est pourquoi je m'y sens comme chez moi, mon foyer, mon port, mon havre de plénitude.
Je pratique l'insouciance responsable : une écologie de l'âme, consistant à pratiquer la Joie durable, en la protégeant contre ceux qui la gaspillent, en la partageant avec ceux qui la respectent et en ne la soumettant jamais à ceux qui veulent la vendre ou l'acheter.
On ne serre bien la main que de ceux qui nous libèrent du poids insoutenable des autres.
Ne mettez pas votre main dans la mienne, si votre âme n'y habite pas. Je me moque des touchers de chair qui ne s'animent que d'un air habituel de déjà vu. Je veux du merveilleux, celui que les yeux croisent sans comprendre, mais que le Cœur connaît déjà.
On doit ôter le pouvoir qui pollue l'Amour, et bannir la violence qui détourne nos désirs, pour partager libres et égaux, les plaisirs de la Vie.
Prendre n'est pas voler
Offrir n'est pas perdre
Soyez l'Amour que vous aimez
Aimez être et être aimé
Sans calcul ni regret.
De trop de désirs coupables, on se condamne à mort, mais de tous les plaisirs de la Vie on ne peut que vivre, entre belles âmes. Nos corps suivent nos Cœurs, dans l'étreinte. Faites l'Amour, vous le fêterez chaque jour. La Vie c'est de l'Amour à faire rejaillir en abondance.
Alors, on passe son temps à rire, à chanter et à danser dans des banquets sans fins qui sont la vraie fête et plus la débauche de nos manques. Il y a de l’éternité et de la plénitude dans la fête et le rire. Humour sans amour est cynisme. Humour et amour sont le cocktail des âmes en Paix que le rire et le sourire n'abandonnent plus jamais. La Joie est l’état d'âme Initial.
Ne demande plus "c'est quoi le monde?", mais "c'est qui le monde?", car à cette question il y a de grandes chances que tu répondes, par toi-même : - "ce monde c'est Moi. Quand il est triste, il se noie dans mes larmes. Quand je rie, il baigne dans mon Soleil."
J'aime l'insondable que le Cœur seul connaît. J'ai payé à prix d'or ma Liberté. je la reperdrai peut-être sous la violence d'un combat qui n'est pas le mien, mais pas sans avoir vécu pleinement l'instant que je dois.
Je le vis, ici-et maintenant, car la vie est faite d'instants, sinon c'est la Vie qui nous use. J'ai vécu la souffrance de l'abandon, mais je sais à quel point il est bon de se perdre, pour puiser au plus profond de mes rages, la Force de me retrouver. Car l'évidence est un appel qu'on entend quand on l'écoute.
Puisque tout ce qui naît en ce monde doit finir, ignore la fin, goûte au plaisir de chanter comme l'oiseau qui est indifférent à sa propre impermanence et qui ne voit aucun barreau à ce monde qui l'empêche de voler.
La Liberté, c'est la Vie, même brève, pourvu qu'elle soit intense. N'effraye pas l'oiseau sur la branche. Et s'il a peur, il se posera toujours sur une autre branche, pour chanter. La peur n'est pas une angoisse existentielle pour lui. Ne coupe pas les arbres que la Nature lui a destiné. Écoute le. Prends son exemple. Respire l'Essen-Ciel qui est sa Liberté.
Comme lui, je suis habité par l'impermanence et le détachement, comme tous les illuminés de Ciel, mais je suis Vrai, comme chaque battement de mon cœur de chair et comme la Lumière qu'on ne peut saisir mais dans laquelle on baigne.
À tous ceux qui me croient perché, sachez que mes pieds ne touchent pas le sol et mon cul pèle sur ma selle usée mais je m'ancre comme l'oiseau, aux racines invisibles d'une terre Sacrée d'où toute matière jaillit et au feu d'un Soleil au Centre, dont nous sommes chacun le Réceptacle et la Substance.
Terre et Ciel sont un seul état en Soi, que le Mental sépare et que l'Ego décompose. Nous sommes tous les chevaliers d'un Graal familier qu'on feint juste d'ignorer trop longtemps.
Chris le Gardien. Mars 2019.
Sous la couche épaisse de nos actes, notre âme d'enfant demeure inchangée ; l'âme échappe au temps.
La leçon essentielle que j'ai apprise dans la vie est d'être vous-même. Chérissez l'être magnifique que vous êtes et reconnaissez d'abord et avant tout que vous n'êtes pas ici seulement comme un être humain. Vous êtes un être spirituel ayant une expérience humaine
Dans l'instant présent il y a deux instants, dit le Sage à l'enfant. L'instant que tu vis, l'instant que tu crées,l'instant où tu Es. Sois l'instant où tu Es. Et l'instant créera ton prochain pas.
Il faudrait que chaque homme ait une vie illimitée pour apprendre comment il doit faire un usage complet de toutes ses dispositions naturelles.
Aucune grâce extérieure n’est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l’âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.
On ne triomphe de la Nature qu'en lui obéissant.
C'était beau parce qu'inutile. Il y a de moins en moins de gestes qui ne cherchent aucun profit.
La simplicité, c'est l'harmonie parfaite entre le beau, l'utile et le juste.
Le Soi unique est la conscience immuable au sein de laquelle toutes ces choses sont perçues comme étant la danse de la manifestation.
L'amour au départ et à l'arrivée, c'est lui le vrai passeur. C'est une poudre magique dont on va emplir les bagages du voyageur pour qu'il élargisse sa route.
Les polarités ne cessent de travailler ensemble et ces grands astres que sont le Soleil et la Lune ne cessent de nous rappeler chaque jour : Le monde que tu perçois révèle le monde qui est en toi.
Ce qui se passe après la mort est si indiciblement glorieux que notre imagination et nos sentiments ne suffisent pas à nous en donner une représentation (...) La dissolution dans l'éternité de notre forme temporelle transitoire ne nous dépossède pas de notre conscience.
La conscience de soi est en même temps la conscience de tout.
L'amour n'est pas un sentiment. Tous nos sentiments sont imaginaires et (...)nous n'y rencontrons que nous-mêmes c'est-à-dire personne.(...) L'amour est la substance épurée du réel, son atome le plus dur. L'amour est le réel désencombré de nos amours imaginaires.
Trouver la distance juste pour être présent et en même temps détaché.
Nous vivons dans un rêve très long, plus long que nos songes (...) Après la mort, nous recommencerons un long rêve dans un autre monde d'existence. Ainsi se succèdent les songes aussi longtemps que l'illusion persiste.
L’enfant peut t’apprendre trois choses : il est joyeux sans raison, il ne reste pas inoccupé un instant ; quand il veut quelque chose, il sait l’exiger avec force.
Observez les nombreuses façons dont le malaise,l'insatisfaction et la tension se traduisent...par le jugement inutile,la résistance à ce qui est et la dénégation du présent.Tout ce qui est inconscient se résorbe qd vous envoyez la lumière de la conscience sur tout cela.
Vous avez tracé le chemin du ver jusqu’à l’homme et il vous est resté beaucoup du ver (...) L’homme est une corde tendue entre la bête et le Surhumain.
Il arrive un jour dans la vie où tu dois décider dans quel train tu veux monter, et une fois que tu as décidé, tu ne dois pas te demander ce qui se serait passé si tu en avais pris un autre.
Je sens, donc j'existe.
Vous N'êtes pas un observateur passif dans le cosmos. L'Univers entier s'exprime à travers vous en ce moment même. Jean Houston.
Ce ne sont pas les mots qui manquent, seulement l’humanité qu’on met dedans.
Il y a bien un lac en moi, un lac solitaire qui se suffit à lui-même ; mais mon fleuve d’amour l’entraîne avec lui — jusqu’à la mer !
Observez n'importe quelle plante ou animal et laissez lui vous enseigner ce qu'est l'acceptation, l'ouverture totale au présent, l' Être. Laissez lui vous enseigner l'intégrité , c'est à dire comment ne faire qu'un , être vous même, être vrai.
Un esprit paisible n'est pas synonyme d'esprit vide de pensées, de sensations et d'émotions. Un esprit paisible n'est pas un esprit absent.
L'univers est créé par une conscience qui se manifeste dans la réalité physique par le biais d'un plan que nous appelons la géométrie sacrée, qui se répète encore et encore en donnant l'illusion du temps linéaire.
Le rire, c'est le soleil, il chasse l'hiver du visage humain.
Je voudrais que ma poésie te fût passerelle subtile, stable, lumineuse, au-dessus des gouffres obscurs de la terre.
Les deux jours les plus importants de votre vie sont le jour où vous êtes né et celui où vous avez compris pourquoi.