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Chris le Gardien auteur
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La Lumière, une caresse d’éternité sur la peau ...

La Lumière, une caresse d’éternité sur la peau ...

La Lumière, une caresse d’éternité sur la peau ...

Le seul bonheur sur terre, c’est d’avoir appris à apprécier les caresses de l’invisible sur notre peau et à embrasser sa part de mystère, qui ne se partage – sans pouvoir jamais se l’expliquer – qu’à force de courage et de persévérance. Sentir ces caresses, de tout son cœur, de toute son âme, de tout son corps, c’est déjà transformer le monde d’un regard conscient sans cesse renouvelé, tourné vers le Sublime,  sa constante vocation.

Mon âme a saigné, c’est vrai, mais c’est bien le prix du plaisir et de la liberté que le sang dans nos veines et quelques accidents, sur le chemin de l’Amour. Il faut cicatriser.

Le plus clair de son temps, on le passe à l’ombre de nous-mêmes, à ressentir le temps qui fuit et à regretter les émotions qui passent. Nos sens offrent un prétexte facile à nos larmes ou à nos plaisirs par trop fugaces, qu’on consomme compulsivement, jusqu’à la moelle. Le monde court, boit la vie à n'en plus pouvoir et meurt de soif. Moi, je m’assois et m’abreuve à sa Source. Créer, c’est faire coïncider l’idée et le réel, c’est donner un corps au cœur et une forme à l’âme. C’est bénir tout ce qui passe par nous, en conscience et en remerciant, encore et encore ce qui nous permet d’être ce que nous sommes. Alors, on ne peut rien faire d’autre qu’en porter témoignage, on ne peut pas vivre, sans joie profonde d’être là pleinement et d’exprimer cet instant continu de bonheur qui n’est autre qu’en soi-même.

 

Les mots, sans les vraies et bonnes intentions,

Sonnent creux au sein de l’âme à l’abandon.

 

Il faut croire qu’en écrivant un peu, on offre beaucoup du bonheur d’être, en Soi et partout, différent. J’écris à l’encre de mon cœur, je décris ces paysages de l’âme qu’on ne peut deviner avec le masque de nos illusions et de notre orgueil.

Il est des histoires qui n’ont le goût d’aucune autre. Celles qui terminées, nous feront voyager d’un bout à l’autre du monde, en quête d’une saveur impossible pour ceux d’entre nous qui ne la goûtent pas du fond de leur cœur, car unique et pourtant partout Présente.

Tout ce que je découvre me met à nu. Chaque jour qui passe me plonge au cœur du plus exquis secret intime : soi-même. L’Ego et l’ignorance, quant à eux, avancent toujours habillés.

Parfois, on est frappés par une réalité invisible qui devient pourtant si tangible qu’elle nous touche, sans savoir vraiment pourquoi. Et voilà que la Magie qui opère nous transcende, voilà la poésie qui nous élève et nous transforme, voilà que cette sensibilité à l’Amour nous grandit à l’infini qui se dévoile. Voilà enfin et partant, la laideur de la mort qui vacille sur ses bases et notre immortalité qui se déploie en suivant la vraie Lumière du jour.

Passer la Lumière, C’est raviver la flamme en chacun. C’est la vocation de toute âme en Conscience. C’est la fraternité naturelle en action. Ce n’est plus un travail acharné, mais la chair au travail qui nous anime, sans labeur, sans soumission.

L’écrit n’est jamais vain

Quand il élève un cœur

Offrez à l’écrivain

Ses droits de libre hauteur.

 

L’insouciance et l’innocente flânerie sont le propre de l’âme heureuse et sa nature. L’activité des hommes est bien trop laborieuse et chronophage pour procurer un quelconque bonheur. L’éternité n’est pas mentale, le temps seul pose ses limites, ses frontières et ses certitudes partisanes et par trop distinguées.

Oui, vraiment. Le seul bonheur sur terre, c’est avoir su apprécier les caresses inconditionnelles et légères de l’invisible sur notre peau.

Si les gens pouvaient oublier, à l’instant, tout l’inutile qu’ils savent produire et se rappeler la Beauté qu’ils peuvent offrir, alors la révolution serait complète et le monde renaîtrait instantanément de son funeste, sinistre, laid et tragique destin.

***

On parle de l’ombre de nos doutes. C’est tout à fait inapproprié. On devrait parler de leur Lumière, bien au contraire. Ceux qui n’ont aucun doute se prélassent dans l’ombre et s’y complaisent de certitudes. Seuls ceux qui doutent peuvent faire un pas vers la Lumière. C’est ce chemin que nous devons accepter, cette part d’ombres qu’on croit d’abord irréductible et bientôt ce retour à notre propre Source, qui se situe bien au-delà de tout ce que nous pensons seulement possible.

Pourquoi ? Pourquoi tant de raisons ne remontent pas à la surface de nos « parce que » ? Sans doute pour que l’incertitude nous mette à l’abri de la folie des hommes qui ont « toujours raison ». La liberté n’a jamais raison, elle ne se montre ni ne se démontre. Elle respire.

Il faut une confiance absolue et un respect sans limite pour accepter le nœud de l’attachement, celui qui nous entrave pouvant décider aussi de notre asservissement. Parfois on se trompe et parfois l’on gagne. Les liens les plus dangereux sont ceux qu’on ne veut délier soi-même.

Le Mental est une course sans issue. On demeure coincé en soi-même et pourtant l’on court : comme le hamster dans sa roue fausse sa propre compagnie.

L’important n’est plus d’avancer puisqu’on ne va nulle part, en Conscience, mais il vient toujours le moment d’accepter l’inévitable métamorphose à mesure que nous fusionnons à cette Éternité dont on s’est détachés et qu’on fuyait jusqu’ici d’accessoires et de bruits insignifiants, depuis trop de temps déjà.

Tu n’iras nulle part tant que tu ne seras pas parti, mais de là-bas, tu reviendras très vite. Les voyages qu’on nous promet n’ont pas la douceur des régions qu’on nous cache. Les vrais paradis ne sont qu’en Soi, où qu’on aille et qui qu’on paraisse être. La certitude de briller n'est pas la vraie Lumière.

La perfection, cet idéal illusoire, n’est pas au bout du chemin, mais dans le marcheur qui erre longtemps en suivant l’horizon de soi et qui perd ses forces et lui-même à trop la chercher loin devant ou loin derrière Soi, plutôt qu’à emprunter le chemin vertical de Soi.

On ne recommence rien à zéro, car rien ne finit jamais vraiment. On vit chaque instant comme une vie et chaque vie comme un instant, mais tout est nouveau et rien de ce qui vieillit n’est essentiel. C’est la part immuable de Soi qui reste et se révèle. Un Cœur mobilisé se moque des circonstances et du temps qui passe.

***

Si tu n’as pas le cœur bien accroché Il s’envole ? Alors oui, mille fois oui, Rompt les cordes qui te tiennent, Brise les chaînes qui t’aliènent et vole. Vole, là ou les lourds retombent. Plus haut, sans toit, Il y a un toi encore plus immense, fait de la légèreté des anges. L’être Conscient est sa voix et son aura, dès ici-bas, la Beauté est son rayon.

Je ne voulais plus d’ailes, c’est elle (La Vie) qui me porterait en confiance. Mais arrivé au firmament, je me sentis chuter : inexorable impuissance d’un abandon en plein vol, attraction terrestre d’un inévitable crash auquel il me faudrait encore survivre. La naissance est une chute, mais l’éveil est son point premier et dernier, l’Alpha et l’Omega impossible au vulgaire, maison des seuls dieux que nous sommes, le retour du héros, fatigué mais fort de ses exils. S’éloigner un peu, est la seule chance de se retrouver beaucoup. L’âme s’éloigne homme et se rapproche Dieu.

Tout est impromptu, génial, sublime et passager. On moissonne le blé, on déguste son pain et on n’a rien perdu du temps qui a passé. Ne t’encombre plus de ce qui ne te contient pas. Toute la place disponible dans ton cœur te mérite. C’est là, qu’on se retrouvera.

Ne te fie pas à l’évidence. Sois l’évidence. Tu y Es déjà. Tu le sauras bientôt. Là où n’y a pas d’âme, il n’y a pas de désir heureux. Il n’y a pas de belle Présence. Cette évidence, personne ne la gagne d’avance, mais tous la sentent un jour, en Conscience, chacun à son rythme et à son heure méritée.

Le monde ne survivra pas … sans toi. Tu es la seule racine par laquelle il s’érige. On a le monde que chacun de nous sait exprimer. À force, on finira bien par en faire quelque chose de beau. Si on se mérite.

Quand on a eu la chance comme moi de connaître l’amour, sous toutes ses formes, comme tous ses contraires, on a une immense gratitude à l’égard de la vie. On sait, que la seule issue n’est ni de posséder ni de déposséder, mais de vivre chaque instant comme le premier et chaque personne comme la première.

L’instant en Conscience, c’est l’Essence du temps, l’Alpha et l'Omega que nul Homme ne reconnaît s’il ne réforme pas radicalement sa propre vision mentale du monde qui l’entoure. Cesse de t’identifier à ce qui est accessoire et tu trouveras l’Essen-Ciel. Toutes les voies séparées finiront par s’y rejoindre.

L’amour n’est donc pas qu’une émotion dont la courbe dépendrait du temps et de l’espace. Il est la révélation de l’interaction entre les âmes séparées et autonomes qui, après avoir expérimenté la rude liberté, fusionnent leur éternité. La Liberté est une épreuve, sublime et inquiétante tout à la fois. On y risque le sacré de son fondement à chaque seconde de notre quotidien, on subit le déséquilibre et l’inconfort dont la précarité est indispensable à la vie, à l’expérience. Qui est libre est toujours soumis au choix, et c’est une chance que de vivre l’incertitude et la passion des hommes, car sans elle, on ne devient pas, on n’évolue pas, on ne grandit pas en Lumière. La Conscience a besoin de son inconscience pour se trouver, comme tout positif dépend de son pôle négatif.

***

Amour, Toujours. Ta caresse est le langage originel de l’Univers, jamais vulgaire. L’Amour est l’intuition qui mobilise notre chair et la Magie de l’Être dans le Faire. Apprentis d’infini, qui serions-nous sans le manque qui l’inspire et l’espère ?

La perfection n’a aucun mouvement, sauf la Vie qui l’est et ce mouvement se nourrit de son invisible et noble intention, l’instinct restauré de l’Âme accomplie, en Conscience.

La Beauté n’a l’apparence tangible que du corps, mais 99 % de ses rayons invisibles sont instantanément perçus par le cœur, quand il la mérite. D’âmes et de corps indissociables, s’il n’y a pas vibration, il n’y a pas érotisation. La Beauté c’est la part d’invisible qui vibre par nos sens. Tous nos sens lui font échos. C’est cela le chemin esthétique de la sensibilité. Tout est érotique, quand tout est authentiquement perçu, sans l’écran du mal.

 

Les plus belles nuits d’amour

Sont claires comme en plein jour.

 

La chaleur, n’est pas qu’une question de draps, ni l’Amour une question de bras. Nous sommes les explorateurs du septième ciel, et nos corps en sont incapables par eux-mêmes, si on n’y met pas beaucoup d’âme. Alors, le temps, la distance, la jalousie, la frustration se dissipent à jamais. On redevient alors la seule liberté en laquelle on ne croyait plus.

Le désir nous fait perdre la tête, mais l’amour nous la rend toujours à la fin de chaque partie, au contraire de la passion qui nous en dépossède sans l’ombre d’un remords en dévorant notre cœur, à vif.

Notre état sauvage, loin de la barbarie des plus civilisés, est aussi le plus originel, le plus emprunt de l’innocente marque de l’amour que notre monde policé a balayé d’ignorance et de démesure.

***

On ne joue pas avec la nourriture ? Mais l’amour est pourtant et aussi un jeu exquis où bouches et langues relayent nos âmes sensibles dans un raffinement aux limites du sacré et de l’innocent abandon.

La sensualité n’est jamais vulgaire, quand le Sublime s’exprime au travers nous. Chaque grain de peau devient le canal de nos âmes et leurs frissons, l’écho discret de l’invisible et mystérieuse Lumière qui nous traverse.

Aussi vrai que vous considérez l’amour comme une denrée périssable, vous mourrez avec lui. Mais dès l’instant où vous embrasserez son champ d’infini, vous fusionnerez en conscience avec son ultime et inaltérable réalité.

Mourir passionné vaut mieux que s’emmerder à en mourir. Sois vivant dans ce que tu fais, le risque n’est supporté que par les vivants.

L’intensité, c’est l’éternité que l’instant dévoile. La durée gâche tout. Le temps masque la présence. La conscience se vit dans son cœur, sans passé ni avenir, pourvu qu’on vive pleinement l’universel instant.

Les âmes viennent au monde bien avant de se reconnaître et de remarcher ensemble. En ouvrant les yeux, ils s’attendaient déjà, pour s’accompagner un peu sur le chemin le temps de l’épreuve. Puis, ils rendront les clés et s’attendront encore : si peu dans leurs deux éternités.

Pour un auteur, l'inspiration est la respiration des mots et l’oxygène de sa Vie. Dès qu’il manque d’air, il s’étouffe en frôlant la mort dans l’absurde puanteur du renfermé des autres.

L’autre existe…mais ce sont des masques mentaux qui ne demandent qu’à tomber un jour…l’éveil nous rend la Vision du UN, par-delà le morcellement illusoire du monde horizontal. Un jour, on se sait infinis. Dans l’altérité je m’expérimente moi-même, puis je réduis la distance en ne battant plus que d’un seul cœur. Voilà la Conscience qui n’a plus besoin de briller, voilà la Lumière qui rayonne d’elle-même et à laquelle on n’est plus jamais extérieur ni détaché.

En Amour, on ne remplace personne, on continue soi-même à s’aimer. Rien ne part, et tout est là à l’infini de l’éternité qu’on perçoit de Soi et de l’autre, quelles que soient les circonstances de la Vie. Il faut espérer dans nos retrouvailles de l’autre côté de mur. En vérité le mur n’a jamais existé que dans nos têtes.

Nous dépendons de la seule qualité de nos filtres pour percevoir la Lumière que chacun d'entre nous peut mériter. Mais la Lumière est partout et ne dépend d'aucun de nous pour briller de tout son infini. En vérité, on ne caresse aucun espoir, c'est l'espérance qui nous caresse. La sentez-vous?

 

 

Chris le Gardien, septembre 2019.

Malgré le raffinement de son intelligence, quelles que soient l’étendue et la profondeur des connaissances qu'il a acquises, l’homme extérieur demeure enfermé dans le cercle de la raison.

Boris Mouravieff. Gnosis.

Heure des sources dénudées heure où l’on regarde les âmes - comme dans les yeux. 

Marina Tsvétaïeva.

Rappelle-toi que tu vis une infime partie de la vie de l'univers.

Jostein Gaarder. Le monde de Sophie (1991).

Mon « je-moi » est la douleur qui s'attarde à l'intérieur de mon Être. Cependant, le « je » que je suis vraiment est le Soi éternellement heureux.

Mooji.

Trouve la Lumière chez les autres et traite-les comme si c’était tout ce que tu voyais en eux.

Wayne W. Dyer.

N'allez pas là où le chemin peut mener. Allez là où il n'y a pas de chemin et laissez une trace.

Ralph Waldo Emerson.

Alors que les deux yeux du corps voient les choses d'une manière identique, les yeux de l'âme les voient différemment : l'un contemple la verité en image et en symboles, l'autre face à face.

Philocalie, saint Isaac le Syrien.

Partout où il y a un être humain, il y a une opportunité pour de la gentillesse. Lucius Annaeus Seneca

Lucius Annaeus Seneca.

Dans la vie, il n'y a pas de solutions, il y a des forces en marche : il faut les créer, et les solutions suivent. 

Antoine de Saint-Exupéry.

L’homme moderne vit à présent dans un monde où sa conscience et sa tradition de pensée ne sont pas capables de poser des questions adéquates.

Hannah Arrendt.

Qui cherche la vérité de l’homme, doit s’emparer de sa douleur.

Georges Bernanos.

Si vous saviez combien la peau est profonde. Oui, cela dépend comme on la caresse. Il y a des personnes qui vous effleurent comme une écorce et d'autres qui vous remuent jusqu'à la sève.

Paul Valery.

Ne te fie pas à tes yeux, tout ce qu'ils te montrent, ce sont des limites, les tiennes. Regarde avec ton esprit, découvre tes convictions et tu trouveras la voie de l'envol.

Jonathan Livingston. Le Goéland.

Rien de ce qui résulte du progrès humain ne s'obtient avec l'assentiment de tous. Ceux qui voient la lumière avant les autres sont condamnés à la poursuivre en dépit des autres.

Christophe Colomb.

Malgré le raffinement de son intelligence, quelles que soient l’étendue et la profondeur des connaissances qu'il a acquises, l’homme extérieur demeure enfermé dans le cercle de la raison.

Gnosis, Boris Mouravieff.

Nous savons que le masque de l’inconscient n’est pas rigide, mais reflète le visage qu’on tourne vers lui. L’hostilité à son égard lui confère un aspect menaçant, la bienveillance envers lui adoucit ses traits. Jung, Psychologie et Alchimie.

Jung, Psychologie et Alchimie.

La compulsion est comme l'obscurité, vous ne pouvez vous battre avec elle. Vous devez allumer la lumière de la conscience.

Sadhguru.

 La vie est une école de métamorphose. Fais confiance à la métamorphose. 

Christiane Singer.

Pema Chödrön- Bien être et incertitude.

"La deuxième marque de l'existence est le non-moi qu'on appelle parfois l'absence d'ego. Ces mots peuvent prêter à confusion. Ils ne veulent pas dire qu'on va disparaître ou qu'il s'agit d'effacer sa personnalité. Le non-moi signifie que les idées fixes qu'on se fait sur soi-même, cet être solide séparé des uns et des autres, créent des limites douloureuses. Se prendre au sérieux à ce point, se croire aussi absurdement important, pose un problème. La suffisance se compare à une prison où l'on s'enferme, qui se limite au monde de ce qu'on aime et de ce qu'on déteste. Soi-même et son monde finissent par être d'un ennui mortel. Au bout du compte, on est très mécontent. Deux possibilités sont offertes : on décide que tout est certain et réel, ou on s'abstient de le faire. On accepte sa version fixe de la réalité, ou on commence à la remettre en question. Selon le Bouddha, s'entraîner à demeurer ouvert et curieux de tout — s'entraîner à démonter les barrières qu'on dresse entre soi-même et le monde — reste la meilleure façon d'employer sa vie d'être humain. Dit en termes on ne peut plus courants, le non-moi est une identité souple, qui se manifeste par la curiosité, la capacité de s'adapter, l'humour et une sorte d'espièglerie. C'est la capacité qu'ont les êtres de se détendre sans savoir, sans tout comprendre, sans être le moins du monde certains de la personne qu'ils sont, ni de quiconque d'ailleurs. Chaque moment est unique, inconnu, totalement frais. Pour une guerrière qui fait son apprentissage, le non-moi et une source de joie et non de peur."